Hier, lors de l’inauguration de la maison de Justice de Grand-Yoff, le ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba a tenu à remettre les points sur les i. « Nous nous sommes intéressés à des situations non à des non », a-t-il déclaré faisant allusion à Cheikh Yérim Seck.
Tout de même, il a tenu à préciser que ce dernier, tout comme les personnes qui ont été élargies de prison à la faveur d’une liberté conditionnelle, remplit toutes les conditions sine qua non. « Il faut d’abord que cela soit une décision de justice définitive, ensuite que la personne condamnée ait effectué la moitié de la peine et enfin qu’elle ait une bonne conduite…», a éclairé le garde des Sceaux selon qui, ce n’est le ministre de la Justice qui accorde la liberté condtionnelle. Selon lui, il se limite à exécuter une décision de justice qui passe par plusieurs canaux avant d’atterrir sur sa table.
Tout de même, il a tenu à préciser que ce dernier, tout comme les personnes qui ont été élargies de prison à la faveur d’une liberté conditionnelle, remplit toutes les conditions sine qua non. « Il faut d’abord que cela soit une décision de justice définitive, ensuite que la personne condamnée ait effectué la moitié de la peine et enfin qu’elle ait une bonne conduite…», a éclairé le garde des Sceaux selon qui, ce n’est le ministre de la Justice qui accorde la liberté condtionnelle. Selon lui, il se limite à exécuter une décision de justice qui passe par plusieurs canaux avant d’atterrir sur sa table.