Si le Sénégal est au bord du gouffre, il faut l’imputer à une seule personne : Abdoulaye Wade. C’est la conviction du cinéaste Sénégalais, Moussa Sène. « Wade a ruiné ce pays. Il est parti en laissant la ruine et jusqu'à présent on a du mal à mettre de l’ordre. ça prendra peut-être une génération pour mettre de l’ordre dans ce désordre. Wade a détruit les fondamentaux de l’homosénégalensis ; il l’a détruit par l’argent, il l’a détruit par la corruption, il l’a détruit par l’achat de conscience (…) même si on emmenait Obama ou François Hollande, ils mettront du temps pour régler le problème », diagnostique l’auteur de « Tableau Ferraille ».
Un bilan catastrophique qui fait dire à Moussa Sène Absa que l’ancien président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade doit être traduit devant les tribunaux quelles que soient les conséquences. « S’il y a une personne qu’il faut juger, c’est Abdoulaye Wade (…) et tant que Macky Sall ne jugera pas Abdoulaye Wade, je l’attaquerai, il m’entendra parce que je prépare un nouveau film », confie-t-il à l’envoyé spécial de la radio privée dakaroise RFM à Ouagadougou, au Burkina Faso où se tient la 23e édition du Festival panafricain de Cinéma (Fespaco).
Un bilan catastrophique qui fait dire à Moussa Sène Absa que l’ancien président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade doit être traduit devant les tribunaux quelles que soient les conséquences. « S’il y a une personne qu’il faut juger, c’est Abdoulaye Wade (…) et tant que Macky Sall ne jugera pas Abdoulaye Wade, je l’attaquerai, il m’entendra parce que je prépare un nouveau film », confie-t-il à l’envoyé spécial de la radio privée dakaroise RFM à Ouagadougou, au Burkina Faso où se tient la 23e édition du Festival panafricain de Cinéma (Fespaco).