En finale, les Nigérians avaient perdu aux tirs au but (3-4) après avoir réussi à égaliser 2-2 au cours de la rencontre.
Avant la finale prévue dimanche prochain, l’équipe nigériane n’arrivait plus à franchir le seuil des demi-finales comme en 2002 au Mali où elle avait été barrée par l’équipe du Sénégal victorieuse aux prolongations 2-1.
En 2004, 2006 et 2010, les demi-finales étaient devenues de véritables murs de son (onde de choc) pour les Nigérians qui étaient systématiquement éliminés.
En Tunisie en 2004, c’est la Tunisie qui leur avait barré la porte de la finale aux tirs au but (4-5). A l’issue du temps réglementaire et des prolongations, les deux équipes étaient à égalité 1-1.
La CAN 2006 en Égypte, ce sont les Éléphants de Côte d’Ivoire de Didier Drogba qui sont sortis vainqueurs de leur rencontre, 1-0.
Au Ghana en 2008, le pays organisateur a eu raison des Super Eagles dès les quarts de finale et c’est la même équipe des Black Stars deux ans plus tard en 2010 en Angola qui sortit vainqueur de leur demi-finale 1-0.
Après avoir raté l’édition de 2012 jouée au Gabon et en Guinée Équatoriale, le Nigeria est la grande sensation de la présente édition en éliminant les favoris, les Éléphants de Côte d’Ivoire en quarts de finale.
Si les Super Eagles ont peiné dans les matchs de poule, ne gagnant qu’une seule rencontre contre les Walyas d’Éthiopie 2-0, ils semblent être transfigurés lors de ces deux matchs à élimination directe.
Après avoir sorti la Côte d’Ivoire battue 2-1, c’est le Mali qui a fait les frais de la puissance de l’équipe dirigée par Stephen Keshi avec cette victoire nette 4-1.
Ainsi après avoir gagné le trophée continental en tant que joueur en 1994 (Tunisie), l’ancien défenseur central rêve de devenir le 2ème Africain à réussir à soulever en tant que footballeur et technicien.
Seul l’Égyptien Mohamed El Gohary a réussi cette prouesse en gagnant le trophée en tant que joueur en 1959 et en tant qu’entraîneur des Pharaons en 1998 lors de la CAN jouée au Burkina Faso.
Source Aps.sn
Avant la finale prévue dimanche prochain, l’équipe nigériane n’arrivait plus à franchir le seuil des demi-finales comme en 2002 au Mali où elle avait été barrée par l’équipe du Sénégal victorieuse aux prolongations 2-1.
En 2004, 2006 et 2010, les demi-finales étaient devenues de véritables murs de son (onde de choc) pour les Nigérians qui étaient systématiquement éliminés.
En Tunisie en 2004, c’est la Tunisie qui leur avait barré la porte de la finale aux tirs au but (4-5). A l’issue du temps réglementaire et des prolongations, les deux équipes étaient à égalité 1-1.
La CAN 2006 en Égypte, ce sont les Éléphants de Côte d’Ivoire de Didier Drogba qui sont sortis vainqueurs de leur rencontre, 1-0.
Au Ghana en 2008, le pays organisateur a eu raison des Super Eagles dès les quarts de finale et c’est la même équipe des Black Stars deux ans plus tard en 2010 en Angola qui sortit vainqueur de leur demi-finale 1-0.
Après avoir raté l’édition de 2012 jouée au Gabon et en Guinée Équatoriale, le Nigeria est la grande sensation de la présente édition en éliminant les favoris, les Éléphants de Côte d’Ivoire en quarts de finale.
Si les Super Eagles ont peiné dans les matchs de poule, ne gagnant qu’une seule rencontre contre les Walyas d’Éthiopie 2-0, ils semblent être transfigurés lors de ces deux matchs à élimination directe.
Après avoir sorti la Côte d’Ivoire battue 2-1, c’est le Mali qui a fait les frais de la puissance de l’équipe dirigée par Stephen Keshi avec cette victoire nette 4-1.
Ainsi après avoir gagné le trophée continental en tant que joueur en 1994 (Tunisie), l’ancien défenseur central rêve de devenir le 2ème Africain à réussir à soulever en tant que footballeur et technicien.
Seul l’Égyptien Mohamed El Gohary a réussi cette prouesse en gagnant le trophée en tant que joueur en 1959 et en tant qu’entraîneur des Pharaons en 1998 lors de la CAN jouée au Burkina Faso.
Source Aps.sn