SETAL.NET - Le Procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) continue de fouiner mais non sans faire des découvertes susceptibles de compromettre les dignitaires de l’ancien régime.
Libération de ce mercredi révèle qu’Alioune Ndao a été informé grâce à la coopération judiciaire d’une remise de 20 millions d’euros, soit 13 milliards FCFA, qui, initialement était un don offert à l’Etat du Sénégal, en marge du voyage que Wade avait effectué à Benghazi pour demander à son ami Kadhafi de quitter le pouvoir. Mais d’après le quotidien Libération parcouru par Setal.net, tout indique que cet argent a disparu entre les mains d’un dignitaire de l’ancien régime et d’un de ses amis français dont le nom était sans cesse revenu dans le dossier Benghazi.
Les enquêteurs de la section de recherches se sont aussi intéressés à la société Senfer Africa Limited qui a servi d’intermédiaire dans le rachat des Industries chimiques du Sénégal par les Indiens. Selon Libération, les enquêteurs ont toutes les raisons de penser que cette société était contrôlée au moins par un cacique du défunt régime. Des vérifications établissent formellement qu’elle est basée en Chypres, pays de Gérôme Godard d’où avaient transité les fameux fonds taïwanais. Une transaction des plus scandaleuses pour la bonne et simple raison que les Ics ont été cédées aux indiens au franc symbolique alors que la société Senfer Africa Limited s’est fait des commissions pour ses prestations. Intrigant, non ?
Libération de ce mercredi révèle qu’Alioune Ndao a été informé grâce à la coopération judiciaire d’une remise de 20 millions d’euros, soit 13 milliards FCFA, qui, initialement était un don offert à l’Etat du Sénégal, en marge du voyage que Wade avait effectué à Benghazi pour demander à son ami Kadhafi de quitter le pouvoir. Mais d’après le quotidien Libération parcouru par Setal.net, tout indique que cet argent a disparu entre les mains d’un dignitaire de l’ancien régime et d’un de ses amis français dont le nom était sans cesse revenu dans le dossier Benghazi.
Les enquêteurs de la section de recherches se sont aussi intéressés à la société Senfer Africa Limited qui a servi d’intermédiaire dans le rachat des Industries chimiques du Sénégal par les Indiens. Selon Libération, les enquêteurs ont toutes les raisons de penser que cette société était contrôlée au moins par un cacique du défunt régime. Des vérifications établissent formellement qu’elle est basée en Chypres, pays de Gérôme Godard d’où avaient transité les fameux fonds taïwanais. Une transaction des plus scandaleuses pour la bonne et simple raison que les Ics ont été cédées aux indiens au franc symbolique alors que la société Senfer Africa Limited s’est fait des commissions pour ses prestations. Intrigant, non ?