Sur des images montrées par la chaîne de télévision Globo news, on voyait des dizaines de prisonniers en slip, les mains sur la tête qui couraient en file indienne dans une cour de la prison pour aller s'asseoir.
"Lors d'une fouille de routine, les détenus ont commencé une mutinerie. Il n'y a pas eu d'otages. La situation est déjà sous contrôle", a indiqué le Secrétariat de l'administration pénitentiaire de l'Etat de Sao Paulo (SAP) dans un communiqué.
"Les détenus évadés ont été recapturés et acheminés vers la prison de Ribeirao Preto", près de Jardinopolis, a précisé le SAP, sans fournir de chiffre précis sur le nombre de détenus évadés et capturés, car l'opération était toujours en cours.
Les mutineries causées par la surpopulation
Selon le site G1 de Globo, citant la police militaire locale, la plupart des détenus ont été retrouvés dans des champs de canne à sucre à proximité de Jardinopolis tandis que d'autres se sont rendus.
D'une capacité de 1.080 places, le pénitencier de Jardinopolis comptait 1.864 détenus au moment de la mutinerie.
La surpopulation dans les prisons brésiliennes est la cause numéro un des mutinerie dans le géant sud-américain.
"Lors d'une fouille de routine, les détenus ont commencé une mutinerie. Il n'y a pas eu d'otages. La situation est déjà sous contrôle", a indiqué le Secrétariat de l'administration pénitentiaire de l'Etat de Sao Paulo (SAP) dans un communiqué.
"Les détenus évadés ont été recapturés et acheminés vers la prison de Ribeirao Preto", près de Jardinopolis, a précisé le SAP, sans fournir de chiffre précis sur le nombre de détenus évadés et capturés, car l'opération était toujours en cours.
Les mutineries causées par la surpopulation
Selon le site G1 de Globo, citant la police militaire locale, la plupart des détenus ont été retrouvés dans des champs de canne à sucre à proximité de Jardinopolis tandis que d'autres se sont rendus.
D'une capacité de 1.080 places, le pénitencier de Jardinopolis comptait 1.864 détenus au moment de la mutinerie.
La surpopulation dans les prisons brésiliennes est la cause numéro un des mutinerie dans le géant sud-américain.