SETAL.NET-La Banque islamique de développent (BID) a approuvé des financements d'un montant total de 311 milliards de francs CFA pour 19 projets alignés sur les priorités et les projets majeurs du gouvernement du Sénégal, a révélé jeudi le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ.
‘’Le portefeuille actif de la BID au Sénégal, constitué de 19 projets, est bien aligné sur les priorités du gouvernement du Sénégal et comprend des projets majeurs dans le cadre du Plan décennal de lutte contre les inondations, des projets dédiés à la création d’emplois et à l’éducation, entre autres’’, a-t-il dit.
S’exprimant lors de la revue du portefeuille actif de la coopération entre le Sénégal et la BID, M. Bâ a souligné que l’action de ce groupe entre dans le cadre général de son intervention en Afrique subsaharienne et tourne principalement autour de deux importantes initiatives.
Il s’agit du Programme spécial pour le développement de l’Afrique (PSDA) et du Fonds de solidarité islamique pour le développement, orienté vers la réduction de la pauvreté, la promotion de la croissance économique durable et l’intégration régionale.
Il y a également deux nouveaux financements approuvés par le Conseil des directeurs exécutif de mai 2014 pour le renforcement du système de transmission d’énergie haute tension Kounoune-Patte d’Oie et Mbour-Kaolack pour 43,300 milliards de francs et le projet régional d’hydraulique rurale et d’assainissement.
La signature de ces deux projets, poursuit Amadou Bâ, porte ainsi à 168 milliards de francs CFA, le montant des accords entre les deux parties, soit plus de 30% des annonces de contribution du groupe au financement du PSE.
La BID était d'ailleurs arrivée en tête en termes d'annonces de financement au sortir du Groupe consultatif de Paris en février dernier, la table-ronde des bailleurs du Sénégal, avec un engagement financier substantiel d’un montant de 550 milliards de FCFA.
S’agissant de la situation de décaissement des financements, le taux global, pour l’ensemble des projets achevés et en cours, est de 56%. Le taux de décaissement du portefeuille en cours d’exécution est de 24%, et le montant non décaissé s’élève à 236 milliards de F CFA.
Selon M. Bâ, depuis le début de la coopération entre le Sénégal et la BID en 1975, les financements approuvés par l’institution islamique pour le pays se chiffrent à 667 milliards de francs CFA, ce qui a permis la réalisation d’importants projets dans l’énergie, les infrastructures et l’éducation, entre autres.
Cependant, le ministre de l'Economie et des Finances souligne que l’exécution du portefeuille connaît quelques problèmes liés aux lourdeurs des procédures de passation de marchés, à la restructuration de certains projets lors de la réalisation, et à la faiblesse de certaines entreprises et des bureaux d’études de la région ouest-africaine.
‘’Le portefeuille actif de la BID au Sénégal, constitué de 19 projets, est bien aligné sur les priorités du gouvernement du Sénégal et comprend des projets majeurs dans le cadre du Plan décennal de lutte contre les inondations, des projets dédiés à la création d’emplois et à l’éducation, entre autres’’, a-t-il dit.
S’exprimant lors de la revue du portefeuille actif de la coopération entre le Sénégal et la BID, M. Bâ a souligné que l’action de ce groupe entre dans le cadre général de son intervention en Afrique subsaharienne et tourne principalement autour de deux importantes initiatives.
Il s’agit du Programme spécial pour le développement de l’Afrique (PSDA) et du Fonds de solidarité islamique pour le développement, orienté vers la réduction de la pauvreté, la promotion de la croissance économique durable et l’intégration régionale.
Il y a également deux nouveaux financements approuvés par le Conseil des directeurs exécutif de mai 2014 pour le renforcement du système de transmission d’énergie haute tension Kounoune-Patte d’Oie et Mbour-Kaolack pour 43,300 milliards de francs et le projet régional d’hydraulique rurale et d’assainissement.
La signature de ces deux projets, poursuit Amadou Bâ, porte ainsi à 168 milliards de francs CFA, le montant des accords entre les deux parties, soit plus de 30% des annonces de contribution du groupe au financement du PSE.
La BID était d'ailleurs arrivée en tête en termes d'annonces de financement au sortir du Groupe consultatif de Paris en février dernier, la table-ronde des bailleurs du Sénégal, avec un engagement financier substantiel d’un montant de 550 milliards de FCFA.
S’agissant de la situation de décaissement des financements, le taux global, pour l’ensemble des projets achevés et en cours, est de 56%. Le taux de décaissement du portefeuille en cours d’exécution est de 24%, et le montant non décaissé s’élève à 236 milliards de F CFA.
Selon M. Bâ, depuis le début de la coopération entre le Sénégal et la BID en 1975, les financements approuvés par l’institution islamique pour le pays se chiffrent à 667 milliards de francs CFA, ce qui a permis la réalisation d’importants projets dans l’énergie, les infrastructures et l’éducation, entre autres.
Cependant, le ministre de l'Economie et des Finances souligne que l’exécution du portefeuille connaît quelques problèmes liés aux lourdeurs des procédures de passation de marchés, à la restructuration de certains projets lors de la réalisation, et à la faiblesse de certaines entreprises et des bureaux d’études de la région ouest-africaine.