Le déficit budgétaire prévu en 2016 est de l’ordre de 4,2%, contre 6,7% en 2011, a indiqué vendredi, le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ.
Cette baisse ’’donne une idée de l’effort accompli par le gouvernement pour rationaliser les dépenses publiques’’, a-t-il souligné devant les députés lors de la clôture de la session budgétaire 2016.
L’Etat ’’se bat pour dépenser mieux, tout en dépensant moins pour son fonctionnement’’, a t-il soutenu, rappelant que ’’le déficit budgétaire d’aujourd’hui constitue la dette à rembourser demain’’.
La baisse du déficit ’’est une bonne nouvelle pour les générations futures’’, selon le ministre, relevant qu’aujourd’hui, le Sénégal ’’s’endette mieux et s’endette moins’’.
C’est pour cela, depuis hier (jeudi) que le Sénégal a été considéré par le Fonds monétaire international (FMI), comme le premier pays d’Afrique dont les plafonds d’endettement ont levés, s’est-il félicité.
Pour l’année 2016 toujours, le ministre a indiqué le taux d’inflation ne dépassera pas 3% conformément à la norme fixée par l’Union économique monétaire ouest africaine (UEMOA).
D’après lui, cet objectif vise ainsi à préserver le pouvoir d’achat des Sénégalais.
Cette baisse ’’donne une idée de l’effort accompli par le gouvernement pour rationaliser les dépenses publiques’’, a-t-il souligné devant les députés lors de la clôture de la session budgétaire 2016.
L’Etat ’’se bat pour dépenser mieux, tout en dépensant moins pour son fonctionnement’’, a t-il soutenu, rappelant que ’’le déficit budgétaire d’aujourd’hui constitue la dette à rembourser demain’’.
La baisse du déficit ’’est une bonne nouvelle pour les générations futures’’, selon le ministre, relevant qu’aujourd’hui, le Sénégal ’’s’endette mieux et s’endette moins’’.
C’est pour cela, depuis hier (jeudi) que le Sénégal a été considéré par le Fonds monétaire international (FMI), comme le premier pays d’Afrique dont les plafonds d’endettement ont levés, s’est-il félicité.
Pour l’année 2016 toujours, le ministre a indiqué le taux d’inflation ne dépassera pas 3% conformément à la norme fixée par l’Union économique monétaire ouest africaine (UEMOA).
D’après lui, cet objectif vise ainsi à préserver le pouvoir d’achat des Sénégalais.