Selon Cheikh Bassirou Mbaye superviseur de l’éducation et de l’information pour la santé et point focal de la santé communautaire, approché par le quotidien, «ce qui frappe, c’est le fait qu’en banlieue, l’épidémie reste largement invisible, à cause du poids des tabous, de la discrimination et de la stigmatisation».
Dans les quartiers, tout se sait très vite, mais il est parfois très compliqué d’assumer le fait de vivre avec le Vih. Les malades sont obligés de prendre leurs traitements en cachette. De la même manière, il est parfois difficile de franchir la porte d’un centre de dépistage, par peur du regard des autres.
Actuellement, environ 500 personnes infectées «manquent à l’appel». Ils sont soit décédés, soit irréguliers, soit perdus de vue. Et malheureusement, ils se sont mélangés avec les populations peut-être sont même en train de contaminer d’autres, parce ils n’osent pas prendre leurs responsabilités et aller se soigner.
Dans les quartiers, tout se sait très vite, mais il est parfois très compliqué d’assumer le fait de vivre avec le Vih. Les malades sont obligés de prendre leurs traitements en cachette. De la même manière, il est parfois difficile de franchir la porte d’un centre de dépistage, par peur du regard des autres.
Actuellement, environ 500 personnes infectées «manquent à l’appel». Ils sont soit décédés, soit irréguliers, soit perdus de vue. Et malheureusement, ils se sont mélangés avec les populations peut-être sont même en train de contaminer d’autres, parce ils n’osent pas prendre leurs responsabilités et aller se soigner.