Les avocats d’une adolescente qui aurait été victime d’un trafic d’êtres humains affirment qu’elle a été forcée à avoir des relations sexuelles avec plus de 1000 hommes dans un hôtel où elle était gardée prisonnière.
L’adolescente n’avait que 14 ans lorsque les faits présumés se sont produits. Aujourd’hui âgée de 17 ans elle porte plainte contre l’hôtel, théâtre de son calvaire. Ses avocats racontent son cauchemar à CBS. D’après eux, la jeune fille dont le nom n’a pas été diffusé a été retenue captive au Roosevelt Inn de Philadelphie pendant deux ans, contre sa volonté. Là, elle aurait été forcée à avoir des relations sexuelles avec plus de 1000 hommes. Elle était payée en moyenne 50 dollars par rapport sexuel. Prisonnière dans un trafic d’être humain, elle était réduite selon ses avocats «au statut d’esclave, payée pour faire des choses à des hommes du double, du triple, du quadruple de son âge».
L’adolescente poursuit donc les propriétaires de l’hôtel Roosevelt Inn, l’entreprise à laquelle il appartient et les managers. Elle réclame 50 000 dollars de dommages et intérêts. «J’étais toujours là, au bureau. Je n’ai jamais rien vu d’anormal», a réagi le manager de l’hôtel, Yanga Patel. Pourtant, selon le «Inquirer», ce lieu serait bien connu pour être «l’épicentre d’un trafic d’êtres humains». «Il faut être aveugle, sourd et muet pour ne pas savoir que 100 hommes se présentent dans son propre établissement en quelques jours», a répondu Tom Kline, l’un des avocats de l’adolescente. Il a ajouté : «Vous avez bien une équipe de nettoyage et quand elle rentre dans la pièce, elle trouve des boîtes de conserve remplies de préservatifs. Vous ne pouvez pas avoir une file d’attente de gars devant une porte sans vous en douter. Le bureau d’accueil envoyait ces hommes vers la chambre de cette enfant».
"Elle est dévastée"
«Elle est dévastée par ce qui vient d’arriver. Elle essaye juste de remettre les pièces de sa vie ensemble», a indiqué un autre de ses avocats, Nadeem Bezar, à CBS. Selon le «Inquirer», elle aurait réussi à s’échapper de l’hôtel au bout de deux ans et à reprendre contact avec sa famille. Les responsables du trafic d’êtres humains dont elle faisait partie ont déjà été condamnés et sont aujourd’hui en prison.
L’adolescente n’avait que 14 ans lorsque les faits présumés se sont produits. Aujourd’hui âgée de 17 ans elle porte plainte contre l’hôtel, théâtre de son calvaire. Ses avocats racontent son cauchemar à CBS. D’après eux, la jeune fille dont le nom n’a pas été diffusé a été retenue captive au Roosevelt Inn de Philadelphie pendant deux ans, contre sa volonté. Là, elle aurait été forcée à avoir des relations sexuelles avec plus de 1000 hommes. Elle était payée en moyenne 50 dollars par rapport sexuel. Prisonnière dans un trafic d’être humain, elle était réduite selon ses avocats «au statut d’esclave, payée pour faire des choses à des hommes du double, du triple, du quadruple de son âge».
L’adolescente poursuit donc les propriétaires de l’hôtel Roosevelt Inn, l’entreprise à laquelle il appartient et les managers. Elle réclame 50 000 dollars de dommages et intérêts. «J’étais toujours là, au bureau. Je n’ai jamais rien vu d’anormal», a réagi le manager de l’hôtel, Yanga Patel. Pourtant, selon le «Inquirer», ce lieu serait bien connu pour être «l’épicentre d’un trafic d’êtres humains». «Il faut être aveugle, sourd et muet pour ne pas savoir que 100 hommes se présentent dans son propre établissement en quelques jours», a répondu Tom Kline, l’un des avocats de l’adolescente. Il a ajouté : «Vous avez bien une équipe de nettoyage et quand elle rentre dans la pièce, elle trouve des boîtes de conserve remplies de préservatifs. Vous ne pouvez pas avoir une file d’attente de gars devant une porte sans vous en douter. Le bureau d’accueil envoyait ces hommes vers la chambre de cette enfant».
"Elle est dévastée"
«Elle est dévastée par ce qui vient d’arriver. Elle essaye juste de remettre les pièces de sa vie ensemble», a indiqué un autre de ses avocats, Nadeem Bezar, à CBS. Selon le «Inquirer», elle aurait réussi à s’échapper de l’hôtel au bout de deux ans et à reprendre contact avec sa famille. Les responsables du trafic d’êtres humains dont elle faisait partie ont déjà été condamnés et sont aujourd’hui en prison.