Victime du même sort en 97 le secrétaire général du Cusems Abdoulaye Ndoye qui est venu manifester son soutien à ses frères sortants de la FASTEF promotion 2013 tire à boulets rouge sur tout ce qui se trouve à sa portée.
Pour lui, « nous sommes dans un système de pilotage à vue, un échec total d’une politique d’éducation sous les rênes d’un Yoonu yokute ».
« Ce n’est pas normal, dénonce-t-il, au moment où les salles de classes sont sous double fluxe, 83 élèves pour un enseignant a lorsque la taille moyenne est 47 élèves par enseignants, ou nous faisons face à un déficit pléthorique d’enseignant, l’Etat refuge d’affecter les diplômés ».
Sur ce, il lâche : « nous voulons clairement que les parents sachent que c’est l’Etat du Sénégal qui est entrain de sacrifier la vie l’avenir de leur enfants ».
Car à l’heure actuelle, professeurs 1 800 professeurs diplômés sont toujours à l’attente de leur affectation.
Ce n’est pas normale invalide-t-il avant de poursuivre : « nous exigeons le recrutement exclusif de toute cette promotion ».
Lamina Dianté qualifie l’association de parents d’élevés de traitres
Venu également témoigner de son soutien aux professeurs sortants de la FESTEF le secrétaire général du SAEMS Cusems n’a pas du tout été tendre avec les parents d’élèves.
Il a dénoncé leur mutisme sur une situation aussi grave que l’affectation des 1800 diplômés sortants de la FASTEF au moment où les écoles manquent d’enseignants.
Selon toujours lui, leur inaction auprès de ces diplômés traduit exactement leur manque de considération face aux enjeux de l’éducation ainsi que leur limites à la hauteur de leur mission.
Mais malgré le comportement irresponsable dit-il, de l’association de parents d’élèves, il rassure ses diplôméschômeurs, vous n’êtes pas formés pour chômer mais asséné-t-il plutôt servir et c’est légale votre revendication a-t-il tonné, et c’est pourquoi, je vous donne l’assurance que vous allez gagner ce combat.
Car prêche- t-il, c’est un combat patriotique, l’éducation n’est pas une mince affaire c’est une question sérieuse, une revendication citoyenne a-t-il martelé, nous secrétaire généraux, syndicalistes confondus, élèves et professeurs allons vous soutenir jusqu’au bout.
Vous ne faites que démarrer le combat des enseignants, a-t-il déclaré, sous peu, vous le verrez, nous allons bloquer le système pour exiger le rétablissement de nos droits.
Samba Deng : « avant le 5 Novembre nous exigeons l’affectation de tous »
A déclaré le coordonnateur du collectif des professeurs sortant de la FASTEF et le payement immédiat des salaires du mois perdu car pour lui, ils sont bel et bien été recrutés depuis Octobre.
Sur ce, face à la forfaiture de l’ETAT il lâche : « chers camarades, l’heure n’est plus à la mobilisation, allons droit vers le but, serrer les rangs, et allons tout, directement vers eux, prendre nos affectations brandit ».
La marche du collectif des diplômés chômeurs a été une réussite malgré l’absence des parents d’élève. Ils ont mobilisé plus de 300 diplômés fortement marqués par la présence des différents SG des syndicats d’enseignements.
Amina Bayo
Pour lui, « nous sommes dans un système de pilotage à vue, un échec total d’une politique d’éducation sous les rênes d’un Yoonu yokute ».
« Ce n’est pas normal, dénonce-t-il, au moment où les salles de classes sont sous double fluxe, 83 élèves pour un enseignant a lorsque la taille moyenne est 47 élèves par enseignants, ou nous faisons face à un déficit pléthorique d’enseignant, l’Etat refuge d’affecter les diplômés ».
Sur ce, il lâche : « nous voulons clairement que les parents sachent que c’est l’Etat du Sénégal qui est entrain de sacrifier la vie l’avenir de leur enfants ».
Car à l’heure actuelle, professeurs 1 800 professeurs diplômés sont toujours à l’attente de leur affectation.
Ce n’est pas normale invalide-t-il avant de poursuivre : « nous exigeons le recrutement exclusif de toute cette promotion ».
Lamina Dianté qualifie l’association de parents d’élevés de traitres
Venu également témoigner de son soutien aux professeurs sortants de la FESTEF le secrétaire général du SAEMS Cusems n’a pas du tout été tendre avec les parents d’élèves.
Il a dénoncé leur mutisme sur une situation aussi grave que l’affectation des 1800 diplômés sortants de la FASTEF au moment où les écoles manquent d’enseignants.
Selon toujours lui, leur inaction auprès de ces diplômés traduit exactement leur manque de considération face aux enjeux de l’éducation ainsi que leur limites à la hauteur de leur mission.
Mais malgré le comportement irresponsable dit-il, de l’association de parents d’élèves, il rassure ses diplôméschômeurs, vous n’êtes pas formés pour chômer mais asséné-t-il plutôt servir et c’est légale votre revendication a-t-il tonné, et c’est pourquoi, je vous donne l’assurance que vous allez gagner ce combat.
Car prêche- t-il, c’est un combat patriotique, l’éducation n’est pas une mince affaire c’est une question sérieuse, une revendication citoyenne a-t-il martelé, nous secrétaire généraux, syndicalistes confondus, élèves et professeurs allons vous soutenir jusqu’au bout.
Vous ne faites que démarrer le combat des enseignants, a-t-il déclaré, sous peu, vous le verrez, nous allons bloquer le système pour exiger le rétablissement de nos droits.
Samba Deng : « avant le 5 Novembre nous exigeons l’affectation de tous »
A déclaré le coordonnateur du collectif des professeurs sortant de la FASTEF et le payement immédiat des salaires du mois perdu car pour lui, ils sont bel et bien été recrutés depuis Octobre.
Sur ce, face à la forfaiture de l’ETAT il lâche : « chers camarades, l’heure n’est plus à la mobilisation, allons droit vers le but, serrer les rangs, et allons tout, directement vers eux, prendre nos affectations brandit ».
La marche du collectif des diplômés chômeurs a été une réussite malgré l’absence des parents d’élève. Ils ont mobilisé plus de 300 diplômés fortement marqués par la présence des différents SG des syndicats d’enseignements.
Amina Bayo