La 6e édition du Sommet Africités démarre aujourd’hui, mardi 4 décembre au King Fahd Palace (ex-Méridien Président) à Dakar et ceux jusqu’au 8 prochain. Le thème retenu est: «Construire l’Afrique à partir de ses territoires: Quels défis pour les collectivités locales». Selon les organisateurs, la rencontre de Dakar «voudrait examiner l’impact des dynamiques d’urbanisation, de mondialisation et de démocratisation avec son corollaire la décentralisation, sur la réorganisation du peuplement et du développement du continent, et son inscription dans le monde d’aujourd’hui et de demain».
Pour cela, la perspective privilégiée est celle qui aborde les enjeux du développement et de la gouvernance du continent en vue de l’émergence d’une «Afrique des Peuples», par delà l’Afrique des Etats, condition sine qua non de l’inscription heureuse de l’Afrique dans le monde. C’est pourquoi, l’architecture du Sommet comprend trois segments. Il y aura les sessions thématiques au cours desquels le thème du Sommet est analysé et débattu (le 4 et le 5 décembre) et les sessions spéciales organisées à la demande d’institutions, agences ou réseaux qui souhaitent travailler avec les collectivités locales d’Afrique (le 6 décembre). Les deux dernières journées seront réservées aux rencontres politiques (le 7 et le 8 décembre).
Aussi, durant toute la semaine, un Salon International d’Affaires des Collectivités locales (Salon Africités) contigu à l’espace de la conférence offrira l’occasion aux entreprises des secteurs public et privé, aux institutions publiques et privées, aux organisations de la société civile et de solidarité internationale, ainsi qu’aux différents acteurs d’exposer les produits, outils, méthodes et expériences proposés et mis en œuvre au bénéfice des collectivités et des populations locales. Le Salon Africités accueillera entre 400 et 500 exposants.
En tout, près de 5000 participants sont attendus, de l’avis des autorités de la ville de Dakar. Ces personnes représenteront tous les protagonistes de la vie locale africaine ainsi que leurs partenaires des autres régions du monde. Il s’agit des ministres chargés des Collectivités locales et ministres en charge du Développement local durable et de l’Emploi, des autorités locales et élus locaux des responsables des administrations centrales et locales, des organisations des sociétés civiles. Des associations et syndicats, des opérateurs économiques des secteurs publics, privés et de l’économie sociale, des autorités traditionnelles, des chercheurs et universitaires et des agences de coopération internationale seront également de la partie.
Pour cela, la perspective privilégiée est celle qui aborde les enjeux du développement et de la gouvernance du continent en vue de l’émergence d’une «Afrique des Peuples», par delà l’Afrique des Etats, condition sine qua non de l’inscription heureuse de l’Afrique dans le monde. C’est pourquoi, l’architecture du Sommet comprend trois segments. Il y aura les sessions thématiques au cours desquels le thème du Sommet est analysé et débattu (le 4 et le 5 décembre) et les sessions spéciales organisées à la demande d’institutions, agences ou réseaux qui souhaitent travailler avec les collectivités locales d’Afrique (le 6 décembre). Les deux dernières journées seront réservées aux rencontres politiques (le 7 et le 8 décembre).
Aussi, durant toute la semaine, un Salon International d’Affaires des Collectivités locales (Salon Africités) contigu à l’espace de la conférence offrira l’occasion aux entreprises des secteurs public et privé, aux institutions publiques et privées, aux organisations de la société civile et de solidarité internationale, ainsi qu’aux différents acteurs d’exposer les produits, outils, méthodes et expériences proposés et mis en œuvre au bénéfice des collectivités et des populations locales. Le Salon Africités accueillera entre 400 et 500 exposants.
En tout, près de 5000 participants sont attendus, de l’avis des autorités de la ville de Dakar. Ces personnes représenteront tous les protagonistes de la vie locale africaine ainsi que leurs partenaires des autres régions du monde. Il s’agit des ministres chargés des Collectivités locales et ministres en charge du Développement local durable et de l’Emploi, des autorités locales et élus locaux des responsables des administrations centrales et locales, des organisations des sociétés civiles. Des associations et syndicats, des opérateurs économiques des secteurs publics, privés et de l’économie sociale, des autorités traditionnelles, des chercheurs et universitaires et des agences de coopération internationale seront également de la partie.