L’ancienne ministre chargée de la promotion des droits de l’homme sous le régime de maitre Abdoulaye Wade s’est prononcée sur l’actualité des responsables de son parti, sous les feux des projecteurs depuis la chute de leur parti. Coumba Gaye a exprimé toute sa désolation par rapport à l’incarcération de celui qui était devenu son frère ennemi et rival au sein de l’Union des jeunesses travaillistes libérales (Ujtl).
Face aux journalistes, l’ancien ministre sous le président Abdoulaye Wade a imploré la clémence du président de la République Macky Sall. « Nous faisons tous partie de sa famille qui ne manque pas par moment à lui causer des torts. Dans cette situation, seul le pardon l’honore. C’est ce qui fait que je demande au chef de l’Etat de faire preuve de clémence pour la libération de notre frère Bara Gaye ». Avant de déclarer : « au-delà de ça, je ne peux pas dire autre chose. Je laisse la justice faire son travail parce que je crois encore une fois qu’on a une justice indépendante».
L’ancien ministre délégué s’est également exprimé sur l’actualité concernant la traque des biens supposés mal acquis. Et à ce sujet, elle a pris le contrepied de ses camarades et remplacé les discours guerriers par un ton conciliateur, axé sur la nécessité de contrôle et reddition de compte inhérente à toute gestion. « Il ne faut même pas tergiverser sur ce point ». Se voulant une patriote convaincue, elle a déclaré que « c’est un acte fort» de la part de l’Etat et qu’elle n’est pas contre.
D’après elle, c’est un « engagement à combattre la corruption sous toutes ses formes. C’est vrai que j’ai été membre d’un gouvernement. Mais aujourd’hui, si pour combattre la corruption l’Etat doit poser ce problème de la traque des biens, il le faut. Si on m’appelle dans ce sens, je répondrai ». Car, continue-t-elle, outre la jeunesse, la nation toute entière a besoin de ces sommes d’argent détournées.
Comme pour enfoncer le clou, Coumba Gaye estime que tous les Sénégalais de quelque bord que ce soit, doivent adhérer aux mesures du gouvernement de récupérer les deniers détournés. « Au-delà des considérations partisanes, il y a d’abord la nation et le Sénégal ne peut pas se développer dans la corruption. Quel que soit le régime qui est en place, il doit combattre la corruption. Et je suppose jusqu’à preuve du contraire que mes frères de parti impliqués, seront blanchis », tient-elle à préciser.
Gardant par ailleurs ses distances par rapport à ses compagnons du Pds qui parlent d’acharnement sur les dignitaires libéraux, elle a fait remarquer qu’un Etat qui veut se développer ne peut pas nier le combat contre la corruption ».a-t-elle dit avant d’ajouter : « je suis d’accord avec la traque des biens acquis quelle que soit la personne et à commencer par ma propre personne. Parce qu’il faudrait prendre en compte la considération nationale au lieu de la considération individuelle… Pour développer le Sénégal, il faut partir sur de bonnes bases ; c'est-à-dire un Etat de droit et en plus de cela, je suis juriste ».
Face aux journalistes, l’ancien ministre sous le président Abdoulaye Wade a imploré la clémence du président de la République Macky Sall. « Nous faisons tous partie de sa famille qui ne manque pas par moment à lui causer des torts. Dans cette situation, seul le pardon l’honore. C’est ce qui fait que je demande au chef de l’Etat de faire preuve de clémence pour la libération de notre frère Bara Gaye ». Avant de déclarer : « au-delà de ça, je ne peux pas dire autre chose. Je laisse la justice faire son travail parce que je crois encore une fois qu’on a une justice indépendante».
L’ancien ministre délégué s’est également exprimé sur l’actualité concernant la traque des biens supposés mal acquis. Et à ce sujet, elle a pris le contrepied de ses camarades et remplacé les discours guerriers par un ton conciliateur, axé sur la nécessité de contrôle et reddition de compte inhérente à toute gestion. « Il ne faut même pas tergiverser sur ce point ». Se voulant une patriote convaincue, elle a déclaré que « c’est un acte fort» de la part de l’Etat et qu’elle n’est pas contre.
D’après elle, c’est un « engagement à combattre la corruption sous toutes ses formes. C’est vrai que j’ai été membre d’un gouvernement. Mais aujourd’hui, si pour combattre la corruption l’Etat doit poser ce problème de la traque des biens, il le faut. Si on m’appelle dans ce sens, je répondrai ». Car, continue-t-elle, outre la jeunesse, la nation toute entière a besoin de ces sommes d’argent détournées.
Comme pour enfoncer le clou, Coumba Gaye estime que tous les Sénégalais de quelque bord que ce soit, doivent adhérer aux mesures du gouvernement de récupérer les deniers détournés. « Au-delà des considérations partisanes, il y a d’abord la nation et le Sénégal ne peut pas se développer dans la corruption. Quel que soit le régime qui est en place, il doit combattre la corruption. Et je suppose jusqu’à preuve du contraire que mes frères de parti impliqués, seront blanchis », tient-elle à préciser.
Gardant par ailleurs ses distances par rapport à ses compagnons du Pds qui parlent d’acharnement sur les dignitaires libéraux, elle a fait remarquer qu’un Etat qui veut se développer ne peut pas nier le combat contre la corruption ».a-t-elle dit avant d’ajouter : « je suis d’accord avec la traque des biens acquis quelle que soit la personne et à commencer par ma propre personne. Parce qu’il faudrait prendre en compte la considération nationale au lieu de la considération individuelle… Pour développer le Sénégal, il faut partir sur de bonnes bases ; c'est-à-dire un Etat de droit et en plus de cela, je suis juriste ».