La dame R. Niang a été attraite, hier, à la barre du tribunal départemental de Dakar pour les faits de bigamie. Cette dernière a eu un nouveau mari alors qu’elle était toujours dans une union qui n’était pas encore dissoute. Elle a ainsi, été porté plainte par son premier mari, un Modou-Modou du nom d’Assane Loum.
En effet, Assane Loum et la prévenue se sont dit «oui» devant Dieu et devant les hommes le 22 décembre 2011. Ils s’étaient engagés à s’aimer dans le bonheur et la tristesse, dans la richesse et la pauvreté. Au début de leur mariage, tout allait bien entre les deux tourtereaux. Leur petit qui est né de cette union en est une parfaite illustration. Mais, les déboires du couple ont commencé quand la vie en rose d’Assane Loum a commencé à faner en Italie. Il traversait des moments très difficiles au pays de Berlusconi.
Non seulement il n’envoyait plus un sou à sa femme R. Niang mais, il ne l’appelait plus. Pis, il ne répondait pas aux appels de son épouse. Désespérée et ne sachant plus à quel saint se vouer, la dame a décidé de divorcer. Mais, elle avait toutes les peines du monde à joindre son mari pour lui demander le divorce. C’est ainsi qu’elle a pris la décision de se remarier tout en sachant qu’elle n’avait pas officiellement rompu. Quelques mois après sa seconde noce, son premier mari a débarqué sur Dakar. Mis au courant des faits, il l’a trainé en justice. Mais, hier, la dame R. Niang a fait savoir qu’elle n’aime plus son premier époux. D’autant que ce dernier l’a fait souffrir.
«Il resté plus de 2 ans sans faire signe de vie. Il ne m’envoyait plus un sou et ne m’appelait plus. Il m’a traduit devant la barre pour m’humilier. Je ne l’aime plus. Il meurt de jalousie», a déclaré la dame qui a réitéré sa demande de divorce.
La partie civile a demandé la somme de 10 millions de francs Cfa en guise de dommages et intérêts. Là, où le maître des poursuites a requis l’application de la loi. Pour sa part, l’avocat de la défense a plaidé la relaxe sans peine ni dépens de sa cliente. Selon lui, si les deux parties sont arrivées là, c’est parce que Assane Loum ne s’est pas comporté en gentleman. Le délibéré de cette affaire sera connu le 12 avril prochain
En effet, Assane Loum et la prévenue se sont dit «oui» devant Dieu et devant les hommes le 22 décembre 2011. Ils s’étaient engagés à s’aimer dans le bonheur et la tristesse, dans la richesse et la pauvreté. Au début de leur mariage, tout allait bien entre les deux tourtereaux. Leur petit qui est né de cette union en est une parfaite illustration. Mais, les déboires du couple ont commencé quand la vie en rose d’Assane Loum a commencé à faner en Italie. Il traversait des moments très difficiles au pays de Berlusconi.
Non seulement il n’envoyait plus un sou à sa femme R. Niang mais, il ne l’appelait plus. Pis, il ne répondait pas aux appels de son épouse. Désespérée et ne sachant plus à quel saint se vouer, la dame a décidé de divorcer. Mais, elle avait toutes les peines du monde à joindre son mari pour lui demander le divorce. C’est ainsi qu’elle a pris la décision de se remarier tout en sachant qu’elle n’avait pas officiellement rompu. Quelques mois après sa seconde noce, son premier mari a débarqué sur Dakar. Mis au courant des faits, il l’a trainé en justice. Mais, hier, la dame R. Niang a fait savoir qu’elle n’aime plus son premier époux. D’autant que ce dernier l’a fait souffrir.
«Il resté plus de 2 ans sans faire signe de vie. Il ne m’envoyait plus un sou et ne m’appelait plus. Il m’a traduit devant la barre pour m’humilier. Je ne l’aime plus. Il meurt de jalousie», a déclaré la dame qui a réitéré sa demande de divorce.
La partie civile a demandé la somme de 10 millions de francs Cfa en guise de dommages et intérêts. Là, où le maître des poursuites a requis l’application de la loi. Pour sa part, l’avocat de la défense a plaidé la relaxe sans peine ni dépens de sa cliente. Selon lui, si les deux parties sont arrivées là, c’est parce que Assane Loum ne s’est pas comporté en gentleman. Le délibéré de cette affaire sera connu le 12 avril prochain