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Abdou Latif Coulibaly nie l’existence d’un deal entre l’Etat et Tahibou Ndiaye

SETAL.NET - L'Etat n'a pas fait de deal avec Tahibou Ndiaye. C'est l'avis du ministre de la Promotion de la bonne gouvernance et porte-parole du gouvernement, Abdou Latif Coulibaly.


Abdou Latif Coulibaly nie l’existence d’un deal entre l’Etat et Tahibou Ndiaye
Si Tahibou Ndiaye qui a été accusé d’enrichissement illicite portant sur prés de 8 milliards a été libéré après avoir décidé de remettre des biens évalués à 3,6 milliards FCFA a été libéré, c’est parce qu’il existe un deal entre l’Etat du Sénégal et cet ancien directeur du Cadastre. C’est la thèse soutenue par nombre d’observateurs qui n’ont pas compris la tournure prise par les événements.

Mais selon Abdou Latif Coulibaly qui porte la parole du Gouvernement du Sénégal, il n’y a l’ombre d’un deal entre l’Etat et Tahibou Ndiaye. « Pourquoi un deal ? Tahibou Ndiaye a restitué la totalité de ses biens. Pourquoi l’Etat ferait un deal ? C’est la loi qui prévoit cela sur demande des parties qu’il y ait une médiation pénale et que le règlement soit fait. Cela a été fait…», argue le ministre de la Promotion de la bonne gouvernance qui précise par ailleurs que l’ancien directeur du cadastre a restitué à l’Etat ce qui lui appartient et non cautionné.

A la question de savoir ce qui sera fait des biens récupérés, Latif répond : « Tout ce qui est actuellement au nom de Tahibou Ndiaye fera l’objet d’une procédure de transfèrement de propriété à l’Etat qui en fera usage. L’Etat a des fonctionnaires à loger. L’Etat a des immeubles, il a un patrimoine immobilier. Tout sera acquis par l’Etat. Il y a une procédure à faire ».

En outre, il met en garde Tahibou Ndiaye en cas de manquement des engagements qu’il a pris devant le Procureur spécial près la Crei. « Il faut savoir que tout manquement des engagements du procès verbal entraine la réouverture immédiate des poursuites et une arrestation de Tahibou Ndiaye probablement », prévient-il dans un entretien avec l'Observateur lu par Setal.net.

SETAL.NET, setalnet1@gmail.com

Samedi 31 Août 2013 - 11:40



Avis des Setalnautes

1.Posté par kathior ka le 31/08/2013 12:54 | Alerter
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LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE - Lundi 22 Juillet 2013 -
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
http://www.popxibaar.com/UNIVERSITE-GASTON-BERGER-DE-SAINT-LOUIS-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane_a16505.html

ÉTAT DE DROIT, GOUVERNANCE VERTUEUSE, TRANSPARENCE, ETC. À L’ÉPREUVE DES FAITS.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que GRÂCE À LA TRANSHUMANCE DU PDS À L’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.

SAUVONS NOS UNIVERSITÉS PUBLIQUES DU NAUFRAGE.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen).

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (MAL GOUVERNANCE, CORRUPTION, NÉPOTISME, DÉPENSES DE PRESTIGE, GESTION SOLITAIRE EN LIEU ET PLACE DE LA GESTION DÉMOCRATIQUE ET LÉGALE, NON RESPECT DES LOIS ET DES RÈGLEMENTS, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (N’ONT-ELLES PAS LES MOYENS DE SAVOIR CE QUI SE PASSE ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme DES MONARQUES EN GÉRANT LA CHOSE PUBLIQUE À LEUR GUISE.
Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
L’ÉTAT NE PEUT CONTINUER À PROTÉGER ET PROMOUVOIR CEUX QUI METTENT À GENOUX NOS INSTITUTIONS D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

———————-kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali —————-

DÉCLARATION SAES

La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.

Devant le constat :

d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.

L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane….

L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.

Ainsi, l’AG exige :

le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et INTERPELLE LES POUVOIRS PUBLICS SUR LA NÉCESSITÉ D’AUDITER LES FONDS ALLOUÉS.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.
Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
————-

SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
Saint Louis, 22/06/2012.

APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.
VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
_

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