Alors qu’il vient de prendre à peine fonction, le nouveau ministre de la Culture a fait hier une annonce qui réjouira plus d’un artiste. Abdoul Aziz Mbaye, venu présider la 2ème conférence sur l’économie créative en Afrique a annoncé la création effective, dans les mois à venir, de la société de gestion collective. Cette société qui va remplacer le Bureau sénégalais des droits d’auteurs (Bsda) sera enfin mise sur pied si l’on en croit M. Mbaye. Le successeur de Youssou Ndour au département de la Culture n’entend pas perdre du temps comme ses prédécesseurs.
«Ça va aller vite. Cette loi a été votée en 2008. Cela fait 4 ans et pendant tout ce temps rien n’a été fait», a déploré le ministre qui annonce que la mise en œuvre de cette société devrait être une question de mois tout au plus. Pour ce faire, informe M. Mbaye, «mon département va essayer de parler aux artistes dans leur ensemble, par des formats appropriés pour faire de telle sorte que nous arrivions à la mise en place de cette société nouvelle qui est en faite, leur société de gestion collective comme ça existe dans le monde ».
Cette nouvelle société va aussi permettre de mieux lutter contre la piraterie. L’objectif étant de veiller à ce que l’artiste qui crée puisse avoir les moyens de bénéficier de son art pour vivre. Artérial network Sénégal, le réseau panafricain d’individus, d’organisations et d’institutions qui œuvre pour que la Culture soit mise au service du développement du continent s’est aussi réjouit de cette décision du ministre. Devant la presse, son secrétaire général, Ouafa Belcacem a indiqué que cette rencontre qui va se poursuivre pendant deux jours devra jeter les bases d’une vraie économie créative au Sénégal et dans les autres pays africains. Il faut rappeler que le réseau Arterial Network est né à Dakar en 2007 sur l’Ile de Gorée de la volonté d’un groupe d’experts. Il regroupe plus de 40 pays africains, défend la diversité culturelle et appuie les gouvernements dans la définition de vraies politiques culturelles au service du développement.
«Ça va aller vite. Cette loi a été votée en 2008. Cela fait 4 ans et pendant tout ce temps rien n’a été fait», a déploré le ministre qui annonce que la mise en œuvre de cette société devrait être une question de mois tout au plus. Pour ce faire, informe M. Mbaye, «mon département va essayer de parler aux artistes dans leur ensemble, par des formats appropriés pour faire de telle sorte que nous arrivions à la mise en place de cette société nouvelle qui est en faite, leur société de gestion collective comme ça existe dans le monde ».
Cette nouvelle société va aussi permettre de mieux lutter contre la piraterie. L’objectif étant de veiller à ce que l’artiste qui crée puisse avoir les moyens de bénéficier de son art pour vivre. Artérial network Sénégal, le réseau panafricain d’individus, d’organisations et d’institutions qui œuvre pour que la Culture soit mise au service du développement du continent s’est aussi réjouit de cette décision du ministre. Devant la presse, son secrétaire général, Ouafa Belcacem a indiqué que cette rencontre qui va se poursuivre pendant deux jours devra jeter les bases d’une vraie économie créative au Sénégal et dans les autres pays africains. Il faut rappeler que le réseau Arterial Network est né à Dakar en 2007 sur l’Ile de Gorée de la volonté d’un groupe d’experts. Il regroupe plus de 40 pays africains, défend la diversité culturelle et appuie les gouvernements dans la définition de vraies politiques culturelles au service du développement.