Une vingtaine de femmes a subi dans la cité du rail, une formation de 11 jours en transformation de céréales locales. En effet, l'autonomisation des femmes doit permettre à ces dernières d'accéder aux financements.
Seulement, tel n'est pas le cas, selon le coordinateur de la formation, Abdoulaye Fall qui précise : " dans beaucoup de domaines rien ne va, et je n'attends rien du Président Macky Sall, car il n'a rien fait dans le secteur de la transformation des produits locaux. Et, s'il n'a rien fait pour ce secteur lors de son premier septennat, alors pour dire vrai, je n'attends absolument rien de lui dans ce second et dernier mandat."
Le partisan du parti Rewmi, Abdoulaye Fall, d'ajouter que " s'agissant de la Direction de l'entrepreneuriat Rapide (Der), malgré les nombreux financements octroyés aux femmes, ces dernières n'ont pas eu de formations nécessaires pour gérer au mieux leurs projets. Nous avons vu que, faute de formation, beaucoup de personnes ont échoué lamentablement. " Avant de regretter : " Faute de formation, ces femmes ont eu beaucoup de problèmes, or un développement sans les femmes, c'est impossible au Sénégal! "
À en croire l'ancienne responsable d'un organisme de financement des femmes, Aïda Guèye Goudiaby, " j'ai fermé la boîte car j'ai perdu presque 50 millions FCFA en finançant des groupements de femmes. Les gens ne payent pas. " À son avis cependant, "cette formation permettra aux femmes de savoir comment gérer leurs financements...
Seulement, tel n'est pas le cas, selon le coordinateur de la formation, Abdoulaye Fall qui précise : " dans beaucoup de domaines rien ne va, et je n'attends rien du Président Macky Sall, car il n'a rien fait dans le secteur de la transformation des produits locaux. Et, s'il n'a rien fait pour ce secteur lors de son premier septennat, alors pour dire vrai, je n'attends absolument rien de lui dans ce second et dernier mandat."
Le partisan du parti Rewmi, Abdoulaye Fall, d'ajouter que " s'agissant de la Direction de l'entrepreneuriat Rapide (Der), malgré les nombreux financements octroyés aux femmes, ces dernières n'ont pas eu de formations nécessaires pour gérer au mieux leurs projets. Nous avons vu que, faute de formation, beaucoup de personnes ont échoué lamentablement. " Avant de regretter : " Faute de formation, ces femmes ont eu beaucoup de problèmes, or un développement sans les femmes, c'est impossible au Sénégal! "
À en croire l'ancienne responsable d'un organisme de financement des femmes, Aïda Guèye Goudiaby, " j'ai fermé la boîte car j'ai perdu presque 50 millions FCFA en finançant des groupements de femmes. Les gens ne payent pas. " À son avis cependant, "cette formation permettra aux femmes de savoir comment gérer leurs financements...