Le cercueil blanc de Papa Wemba, roi de la rumba congolaise décédé sur scène à Abidjan, est apparu aujourd'hui sous des applaudissements et une mélodie de l'artiste lors d'une cérémonie d'hommage dans la capitale ivoirienne, avant le rapatriement demain de la dépouille à Kinshasa. La veuve du chanteur, Marie Rose dit maman Amazone, inconsolable, était soutenue par ses proches et de nombreux anonymes surtout des Congolais vivant à Abidjan qui ont pris d'assaut la salle de l'"Ivosep (Pompes funèbres) de Treichville, un quartier populaire d'Abidjan.
Le premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a assisté à la cérémonie, entouré de nombreux membres de son gouvernement.
L'ancien président ivoirien (1993-1999) Henri Konan Bédié, "parrain" du Festival des musiques urbaines d'Anoumabo (Femua) était également présent, aux côtés de Salif Traoré, dit A'Salfo, leader de Magic System et organisateur du festival. "Un artiste ne meurt pas. Un artiste meurt pour être encore plus grand. Papa Wemba mort, est désormais plus grand que vivant", a déclaré le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman.
Papa Wemba est décédé à 66 ans dans la nuit de samedi à dimanche après un malaise sur scène à Abidjan, où il participait au festival à Anoumabo, quartier populaire d'Abidjan qui a vu naître Magic System, groupe star de la musique ivoirienne. La cérémonie devait se poursuivre jusque tard dans la soirée avec un concert d'hommages à Treichville. Les hommages se sont multipliés pour saluer un des chanteurs africains les plus populaires d'Afrique et le prince de la SAPE (Société des Ambianceurs et des Personnes Elégantes), mouvement dont il a été l'un des initiateurs au Zaïre dans les années 70 et qui se caractérise par les plus grandes audaces vestimentaires.
Le premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a assisté à la cérémonie, entouré de nombreux membres de son gouvernement.
L'ancien président ivoirien (1993-1999) Henri Konan Bédié, "parrain" du Festival des musiques urbaines d'Anoumabo (Femua) était également présent, aux côtés de Salif Traoré, dit A'Salfo, leader de Magic System et organisateur du festival. "Un artiste ne meurt pas. Un artiste meurt pour être encore plus grand. Papa Wemba mort, est désormais plus grand que vivant", a déclaré le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman.
Papa Wemba est décédé à 66 ans dans la nuit de samedi à dimanche après un malaise sur scène à Abidjan, où il participait au festival à Anoumabo, quartier populaire d'Abidjan qui a vu naître Magic System, groupe star de la musique ivoirienne. La cérémonie devait se poursuivre jusque tard dans la soirée avec un concert d'hommages à Treichville. Les hommages se sont multipliés pour saluer un des chanteurs africains les plus populaires d'Afrique et le prince de la SAPE (Société des Ambianceurs et des Personnes Elégantes), mouvement dont il a été l'un des initiateurs au Zaïre dans les années 70 et qui se caractérise par les plus grandes audaces vestimentaires.