Face aux gendarmes de la section de recherches de Dakar, Cheikh Yérim Seck a balayé du revers de la main le viol. Il a soutenu que durant l’acte sexuel, Aïssatou Tall ne l’a ni repoussé ni demandé d’arrêter. « Nous nous sommes embrassés et elle s’est déshabillée » ajoute le patron de Dakaractu. Qui avoue par contre qu’il s’est frotté à la fille. « …je l’ai p…J’ai commencé à frotter et tout le monde sait que dans ce domaine, on ne peut rien contrôler ». Le morceau est lâché et Cheikh Yérim Seck se met dans une position inconfortable en avouant son impuissance à calmer sa libido.
Des propos qui peuvent lui porter préjudice si l’on sait que la fille campe sur sa position et soutient dans les colonnes de l’Obs qu’elle a résisté tout en faisant savoir au journaliste qu’elle était vierge. Mais ce dernier n’a voulu rien entendre. « Il a usé de sa force pour enlever mon slip et mon pantalon. Il m’a maintenu de force et a commencé à se frotter à moi », dit-elle aux enquêteurs.
Les avocats de notre confrère dont Me Souleymane Ndéné Ndiaye devront faire preuve de tact pour le sortir de cette affaire qui peut lui couter 5 ans derrière les barreaux.
Des propos qui peuvent lui porter préjudice si l’on sait que la fille campe sur sa position et soutient dans les colonnes de l’Obs qu’elle a résisté tout en faisant savoir au journaliste qu’elle était vierge. Mais ce dernier n’a voulu rien entendre. « Il a usé de sa force pour enlever mon slip et mon pantalon. Il m’a maintenu de force et a commencé à se frotter à moi », dit-elle aux enquêteurs.
Les avocats de notre confrère dont Me Souleymane Ndéné Ndiaye devront faire preuve de tact pour le sortir de cette affaire qui peut lui couter 5 ans derrière les barreaux.