Pour accompagner le Président de la République, Macky Sall qui venait d’être porté à la magistrature suprême, Abdou Diouf Baldé, un responsable national de l’Apr et membre fondateur de la Convergence des cadres républicains a pensé mettre sur pied un mouvement. Qui naquit le 11 avril 2012 et sera dénommé « Actions républicaines ». « Son objectif, c’était de massifier le parti (Apr) et accompagner le président de la République à la réalisation de son programme », argue-t-il. A ce jour, dénombre-t-il, ledit mouvement compte 30 000 membres dénichés dans des organisations socioprofessionnelles bien connues.
Et selon Abdou Diouf Baldé qui s'est entretenu avec Setal.net, Actions républicaines a étendu ses tentacules jusqu'au Sénégal oriental. « À Koupentoum, tous les apéristes sont dans le mouvement dirigé localement par le Pape Sémou Niang », plastronne-t-il.
Mais s’empresse-t-il de préciser que le mouvement dont il conduit les rênes n’est pas comme les autres. Selon lui, « Actions républicaines » réfléchit sur des projets et les soumet au Président de la République qui aura juste à les mettre en œuvre pour le bien être des populations.
C’est ainsi qu’ils ont mis au point l’Agence nationale de sécurité de proximité qui selon Abdou Diouf Baldé, est l’ouvre des experts du mouvement qu’il dirige. « C’est suite à l’agression qui a eu lieu en face du Stade Léopold Sédar Senghor et qui a couté la vie à un footballeur que nous nous sommes concertés pour voir comment juguler le problème de l’insécurité. C’est ainsi que nous avons pensé à ce projet. Mais aujourd’hui, force est de reconnaitre qu’elle n’a pas été créée telle que nous l’avions conçu. Car pour nous, cette agence devait intervenir dans la prévention et non être un médecin après la mort comme le fait la police et la gendarmerie », révèle-t-il.
Qu’à cela ne tienne, Actions républicaines qui se distingue des autres organisations de par ses propositions pertinentes au gouvernement du Sénégal, s’inscrit plus que jamais sur cette voie et a proposé à ce qu’une agence nationale de collecte et de distribution des pièces d’identité égarées soit créée. « Mais jusqu’à ce jour, c’est resté dans les tiroirs », semble regretter Diouf Baldé. Qui est d’avis que le président de la République doit rendre à César ce qui appartient à César, c'est-à-dire responsabiliser les experts du mouvement Actions républicaines qui n’agissent que pour le développement du Sénégal à travers des propositions aussi pertinentes les unes que les autres.
Ce qui risque d’attendre d’autant que pour le coordonnateur national de ce mouvement, des ministres apéristes font des pieds et des mains pour leur mettre des bâtons dans les roues. « Mahmouth Saleh nous a clairement dit : « vous-là, vous voulez prendre nos places, mais nous ne vous laisserons pas faire. Il l’a dit parce qu’il sait de quoi nous sommes capables », rapporte-il. À l’en croire, certains ministres, membres de l’Apr craignent leur mouvement et feront tout ce qui est en leur pouvoir pour ne pas voir les membres émérites de celui-ci gravir les échelons. Mais Abdou Diouf Baldé leur rappelle « nous ne sommes pas dans le show-biz politique. Ce qui nous intéresse, c’est le développement du Sénégal. Nous demandons juste au président de rendre à César ce qui lui appartient ».
Et selon Abdou Diouf Baldé qui s'est entretenu avec Setal.net, Actions républicaines a étendu ses tentacules jusqu'au Sénégal oriental. « À Koupentoum, tous les apéristes sont dans le mouvement dirigé localement par le Pape Sémou Niang », plastronne-t-il.
Mais s’empresse-t-il de préciser que le mouvement dont il conduit les rênes n’est pas comme les autres. Selon lui, « Actions républicaines » réfléchit sur des projets et les soumet au Président de la République qui aura juste à les mettre en œuvre pour le bien être des populations.
C’est ainsi qu’ils ont mis au point l’Agence nationale de sécurité de proximité qui selon Abdou Diouf Baldé, est l’ouvre des experts du mouvement qu’il dirige. « C’est suite à l’agression qui a eu lieu en face du Stade Léopold Sédar Senghor et qui a couté la vie à un footballeur que nous nous sommes concertés pour voir comment juguler le problème de l’insécurité. C’est ainsi que nous avons pensé à ce projet. Mais aujourd’hui, force est de reconnaitre qu’elle n’a pas été créée telle que nous l’avions conçu. Car pour nous, cette agence devait intervenir dans la prévention et non être un médecin après la mort comme le fait la police et la gendarmerie », révèle-t-il.
Qu’à cela ne tienne, Actions républicaines qui se distingue des autres organisations de par ses propositions pertinentes au gouvernement du Sénégal, s’inscrit plus que jamais sur cette voie et a proposé à ce qu’une agence nationale de collecte et de distribution des pièces d’identité égarées soit créée. « Mais jusqu’à ce jour, c’est resté dans les tiroirs », semble regretter Diouf Baldé. Qui est d’avis que le président de la République doit rendre à César ce qui appartient à César, c'est-à-dire responsabiliser les experts du mouvement Actions républicaines qui n’agissent que pour le développement du Sénégal à travers des propositions aussi pertinentes les unes que les autres.
Ce qui risque d’attendre d’autant que pour le coordonnateur national de ce mouvement, des ministres apéristes font des pieds et des mains pour leur mettre des bâtons dans les roues. « Mahmouth Saleh nous a clairement dit : « vous-là, vous voulez prendre nos places, mais nous ne vous laisserons pas faire. Il l’a dit parce qu’il sait de quoi nous sommes capables », rapporte-il. À l’en croire, certains ministres, membres de l’Apr craignent leur mouvement et feront tout ce qui est en leur pouvoir pour ne pas voir les membres émérites de celui-ci gravir les échelons. Mais Abdou Diouf Baldé leur rappelle « nous ne sommes pas dans le show-biz politique. Ce qui nous intéresse, c’est le développement du Sénégal. Nous demandons juste au président de rendre à César ce qui lui appartient ».