‘’La mort de Adja Arame Diène est l’affaissement brutal d’une géante de l’histoire politique sénégalaise. Elle est surtout une grande dame du cœur, d’esprit, symbole vivant de la foi militante, et surtout de la fidélité aux idéaux défendus’’, témoignait ainsi sa fille dans le 10-ème numéro des Cahiers de l’alternance édité par le Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI).
Cette figure emblématique de la politique sénégalaise, en plus d’avoir voué une fidélité sans faille à Senghor puis à Abdou Diouf avait fait l’unanimité au sein de la classe politique mais également de la société sénégalaise toute entière, pour son attachement aux valeurs tels que la générosité, le respect de la parole donnée, la fidélité et la foi.
Son surnom de ‘’mère’’ du Parti socialiste n’est pas fortuit car Adja Arame avait gagné l’estime de tout un parti mais aussi de tout un peuple. Cela explique pourquoi elle est restée à l’Assemblée nationale de façon ininterrompue durant cinq législatures, de 1983 à 2001 après la chute du Parti socialiste à la faveur de l’alternance survenue un an plus tôt.
Adja Arame était parmi les femmes qui comptaient dans son parti en faisant partie du cercle de décision mais surtout en tant que présidente du mouvement des femmes de la formation politique qui dirigea le Sénégal quarante ans durant.
Née en 1926 dans le populeux quartier de la Médina, près du centre ville, Adja Arame a été une constante, une forte personnalité politique.
Aujourd’hui sur les murs des sa maisons située à la rue 18, trônent encore les portraits des présidents Senghor et Diouf. Une manière pour sa famille de perpétuer les valeurs qu’elle portait en elle et auxquelles elle a crues jusqu’à sa mort.
Sa non maîtrise de la langue officielle et de travail, le français n’a jamais été un handicap pour cette dame qui selon sa fille Dieyla Camara : ‘’seule la vérité l’intéressait et elle était convaincue qu’elle allait toujours triompher. C’est le soubassement de toutes ses entreprises et relations’’.
Un bel exemple à méditer pour la classe politique actuelle, adepte de la transhumance tous azimuts, contraire aux valeurs et à l’éthique et qui au final crée une confusion terrible au niveau des principes et des idéologies véhiculés par les partis, au point de créer des alliances contre nature plutôt déroutantes et décevantes pour le peuple.
Adja Arame fut rappelée à Dieu le 26 mars 2005, dans la maison où elle est née, a grandi et a toujours vécu.
Cette figure emblématique de la politique sénégalaise, en plus d’avoir voué une fidélité sans faille à Senghor puis à Abdou Diouf avait fait l’unanimité au sein de la classe politique mais également de la société sénégalaise toute entière, pour son attachement aux valeurs tels que la générosité, le respect de la parole donnée, la fidélité et la foi.
Son surnom de ‘’mère’’ du Parti socialiste n’est pas fortuit car Adja Arame avait gagné l’estime de tout un parti mais aussi de tout un peuple. Cela explique pourquoi elle est restée à l’Assemblée nationale de façon ininterrompue durant cinq législatures, de 1983 à 2001 après la chute du Parti socialiste à la faveur de l’alternance survenue un an plus tôt.
Adja Arame était parmi les femmes qui comptaient dans son parti en faisant partie du cercle de décision mais surtout en tant que présidente du mouvement des femmes de la formation politique qui dirigea le Sénégal quarante ans durant.
Née en 1926 dans le populeux quartier de la Médina, près du centre ville, Adja Arame a été une constante, une forte personnalité politique.
Aujourd’hui sur les murs des sa maisons située à la rue 18, trônent encore les portraits des présidents Senghor et Diouf. Une manière pour sa famille de perpétuer les valeurs qu’elle portait en elle et auxquelles elle a crues jusqu’à sa mort.
Sa non maîtrise de la langue officielle et de travail, le français n’a jamais été un handicap pour cette dame qui selon sa fille Dieyla Camara : ‘’seule la vérité l’intéressait et elle était convaincue qu’elle allait toujours triompher. C’est le soubassement de toutes ses entreprises et relations’’.
Un bel exemple à méditer pour la classe politique actuelle, adepte de la transhumance tous azimuts, contraire aux valeurs et à l’éthique et qui au final crée une confusion terrible au niveau des principes et des idéologies véhiculés par les partis, au point de créer des alliances contre nature plutôt déroutantes et décevantes pour le peuple.
Adja Arame fut rappelée à Dieu le 26 mars 2005, dans la maison où elle est née, a grandi et a toujours vécu.