Le Juge a ordonné une descente à l’entrepôt d’Aïda Ndiongue sis à Colobane pour vérifier le matériel restant dans le cadre des produits phytosanitaires du Plan Jaxaay.
C’est ce que rapporte Libération dans sa livraison de ce matin. En effet, ce jeudi, Aida Diongue est revenue sur les différentes procédures d’acquisition des marchés qu’elle a gagnés dans le cadre du plan Jaxaay. Seulement, pour le juge, l’ancienne sénatrice avait dissimulé son identité derrière ses entreprises pour gagner des marchés.
Ce qui n’est pas le cas, rétorque Aïda NDiongue qui indique que 2 des 4 entreprises soumissionnaires étaient à son nom. S’agissant des autres entreprises aux noms de certains membres de sa famille, la principale mise en cause s’est présentée comme la caution morale et financière de celles-ci. Les propriétaires de ces entreprises ont déclaré qu’ils lui ont fait une délégation de signature. Par conséquent, indique Mme Ndiongue, ces entreprises ont soumissionné dans la légalité.
Par ailleurs, Mme Ndiongue a exécuté l’intégralité des marchés.
Néanmoins, pour le Juge, il reste du matériel qui n’a pas été livré. Ce que confirme la prévenue qui indique que le matériel restant se trouve dans un entrepôt à Colobane parce que l’Etat n’ayant pas de magasin de stockage. Elle a indiqué que ses avocats ont adressé des correspondances à l’agence judiciaire de l’Etat pour procéder à l’enlèvement.
Afin de se faire une religion, le Juge a invité le représentant du parquet général, les avocats et l’agent judiciaire de l’Etat à se rendre le 11 février au niveau de l’entrepôt pour vérification.
C’est ce que rapporte Libération dans sa livraison de ce matin. En effet, ce jeudi, Aida Diongue est revenue sur les différentes procédures d’acquisition des marchés qu’elle a gagnés dans le cadre du plan Jaxaay. Seulement, pour le juge, l’ancienne sénatrice avait dissimulé son identité derrière ses entreprises pour gagner des marchés.
Ce qui n’est pas le cas, rétorque Aïda NDiongue qui indique que 2 des 4 entreprises soumissionnaires étaient à son nom. S’agissant des autres entreprises aux noms de certains membres de sa famille, la principale mise en cause s’est présentée comme la caution morale et financière de celles-ci. Les propriétaires de ces entreprises ont déclaré qu’ils lui ont fait une délégation de signature. Par conséquent, indique Mme Ndiongue, ces entreprises ont soumissionné dans la légalité.
Par ailleurs, Mme Ndiongue a exécuté l’intégralité des marchés.
Néanmoins, pour le Juge, il reste du matériel qui n’a pas été livré. Ce que confirme la prévenue qui indique que le matériel restant se trouve dans un entrepôt à Colobane parce que l’Etat n’ayant pas de magasin de stockage. Elle a indiqué que ses avocats ont adressé des correspondances à l’agence judiciaire de l’Etat pour procéder à l’enlèvement.
Afin de se faire une religion, le Juge a invité le représentant du parquet général, les avocats et l’agent judiciaire de l’Etat à se rendre le 11 février au niveau de l’entrepôt pour vérification.