Des bizarreries sont à noter dans l’affaire Tahibou Ndiaye du nom de l’ancien directeur du cadastre qui a échappé à la prison après avoir consigné 3,6 milliards FCFA alors que son patrimoine est estimé à 7,9 milliards FCFA. Le procureur spécial qui l’avait fait arrêter 3 jours auparavant avait déjà requis l’inculpation et le placement sous mandat de dépôt de cet inspecteur des Impôts.
Mais, sans qu’on ne parvienne pas à saisir le pourquoi, Alioune Ndao s’est rétracté et a fait un autre réquisitoire aupres de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour demander l’arrêt des poursuites contre Tahibou NDIAYE. Ce qui, aux yeux du quotidien l’As, est tout simplement bizarre. Car, dans le principe, éclaire le journal, quand le Procureur spécial remet un dossier entre les mains de la Commission d’instruction, il n’a plus droit sur ce dossier. Tout ce qu’il peut faire, c’est faire appel sur une ordonnance déjà rendue par la Ci ou faire un réquisitoire supplétif pour formuler une autre demande.
L’autre fait qui prête à confusion dans cette affaire concerne les négociations qui ont abouti à la libération de l’ancien patron du Cadastre. En effet, ce n’est ni sur la base de transaction, encore moins au moyen d’une médiation pénale que Tahibou Ndiaye a humé l’air de la liberté, mais plutôt au détour d’un compromis.
Pour sa part, le ci-devant Directeur du Cadastre révèle qu’il n’avait plus le choix car il avait un couteau sous la gorge. Dans un entretien avec Le Quotidien paru ce jour, il a laissé entendre avoir dit au procureur spécial de prendre tous ses biens.
Mais, sans qu’on ne parvienne pas à saisir le pourquoi, Alioune Ndao s’est rétracté et a fait un autre réquisitoire aupres de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour demander l’arrêt des poursuites contre Tahibou NDIAYE. Ce qui, aux yeux du quotidien l’As, est tout simplement bizarre. Car, dans le principe, éclaire le journal, quand le Procureur spécial remet un dossier entre les mains de la Commission d’instruction, il n’a plus droit sur ce dossier. Tout ce qu’il peut faire, c’est faire appel sur une ordonnance déjà rendue par la Ci ou faire un réquisitoire supplétif pour formuler une autre demande.
L’autre fait qui prête à confusion dans cette affaire concerne les négociations qui ont abouti à la libération de l’ancien patron du Cadastre. En effet, ce n’est ni sur la base de transaction, encore moins au moyen d’une médiation pénale que Tahibou Ndiaye a humé l’air de la liberté, mais plutôt au détour d’un compromis.
Pour sa part, le ci-devant Directeur du Cadastre révèle qu’il n’avait plus le choix car il avait un couteau sous la gorge. Dans un entretien avec Le Quotidien paru ce jour, il a laissé entendre avoir dit au procureur spécial de prendre tous ses biens.