Dans son édition de jeudi, « L’Observateur » est revenu sur les détails de cette sombre histoire, instruite par la brigade de gendarmerie de la Foire. Tout est parti, lorsque cette dernière a reçu un appel du nommé Dème Bâ qui se plaignait de violence et voie de fait et de tentative de viol dont serait victime son amie. Les gendarmes se transportent sur les lieux et interrogent le mis en cause, Tyco Tatoo, qui nie en bloc.
L’enquête ouverte révèle que la dame Warda Attal récemment mariée à l’ami de Ama Dème Bâ, a, pour ferrer son homme, demandé la permission de faire tatouer certaines parties de son corps. Un rendez-vous est fixé avec Tyco. «A l’heure d'arrivée, ils marchandent et conviennent de la somme de 75 mille francs Cfa, versée à la femme du tatoueur qui joue aussi le rôle d’assistante.»
Warda est admise dans la chambre de Tyco, qui lui demande de fermer la porte à double tour. Pourquoi ? « Il ne veut pas être dérangé », lance-t-il. Toujours selon les enquêteurs, il lui a demandé d’ôter son pantalon, son slip et son soutien-gorge, pour qu’il ne salisse pas ses habits. La dame s’exécute à la lettre. A son tour, Tyco enlève son boubou et reste en caleçon.
Pour commencer le tatouage, Tyco exige à Warda de s’asseoir sur ses genoux et de lui tourner le dos. Après 20 minutes de séance, Tyco profite de cette situation pour sortir son pénis et a voulu pénétrer Warda.
Cette dernière, sentant son sexe, a brusquement sursauté en lui demandant les causes de son geste. Là, « elle interrompt la séance de tatouage, se rhabille et sort en claquant la porte. Elle raconte la scène à Ama Dème Ba, qui automatiquement, se dirige vers la chambre de Tyco pour l’accabler d’invectives ».
Touché dans son orgueil, le mis en cause, d’après les enquêteurs, assène à ce dernier un coup de poing à l’œil gauche, qui lui occasionne une blessure. Pour sauver les meubles, Tyco demande à sa femme de leur rendre l’argent. Mais Dème appelle la gendarmerie. Depuis lors, tout s’enchaîne pour le tatoueur, qui rejette dépendant les accusations contre lui. Il précise que la dame a eu peur et, est sortie. Et s’il a frappé le gars, c’est parce qu’il l’a injurié.
L’Observateur
L’enquête ouverte révèle que la dame Warda Attal récemment mariée à l’ami de Ama Dème Bâ, a, pour ferrer son homme, demandé la permission de faire tatouer certaines parties de son corps. Un rendez-vous est fixé avec Tyco. «A l’heure d'arrivée, ils marchandent et conviennent de la somme de 75 mille francs Cfa, versée à la femme du tatoueur qui joue aussi le rôle d’assistante.»
Warda est admise dans la chambre de Tyco, qui lui demande de fermer la porte à double tour. Pourquoi ? « Il ne veut pas être dérangé », lance-t-il. Toujours selon les enquêteurs, il lui a demandé d’ôter son pantalon, son slip et son soutien-gorge, pour qu’il ne salisse pas ses habits. La dame s’exécute à la lettre. A son tour, Tyco enlève son boubou et reste en caleçon.
Pour commencer le tatouage, Tyco exige à Warda de s’asseoir sur ses genoux et de lui tourner le dos. Après 20 minutes de séance, Tyco profite de cette situation pour sortir son pénis et a voulu pénétrer Warda.
Cette dernière, sentant son sexe, a brusquement sursauté en lui demandant les causes de son geste. Là, « elle interrompt la séance de tatouage, se rhabille et sort en claquant la porte. Elle raconte la scène à Ama Dème Ba, qui automatiquement, se dirige vers la chambre de Tyco pour l’accabler d’invectives ».
Touché dans son orgueil, le mis en cause, d’après les enquêteurs, assène à ce dernier un coup de poing à l’œil gauche, qui lui occasionne une blessure. Pour sauver les meubles, Tyco demande à sa femme de leur rendre l’argent. Mais Dème appelle la gendarmerie. Depuis lors, tout s’enchaîne pour le tatoueur, qui rejette dépendant les accusations contre lui. Il précise que la dame a eu peur et, est sortie. Et s’il a frappé le gars, c’est parce qu’il l’a injurié.
L’Observateur