Cela fait huit mois que Ndiaye et ses coéquipiers sénégalais ont étonné tout le monde au Tournoi de Qualification Olympique de Manille.
Même s’ils n’ont pas réussi à décrocher un billet pour les JO de Rio 2016, Ndiaye insiste sur le fait que leur moral est au beau fixe.
« [En 1997 – année du titre] je ne savais pas ce qu’était le basketball. Je l’ai découvert en 2003. De penser que nous pouvons écrire l’histoire de notre pays en remportant un AfroBasket, c’est une énorme source de motivation pour nous autres les joueurs. » – Ndiaye
Le Sénégal est dès cette semaine en quête d’une place pour le FIBA AfroBasket 2017, via les éliminatoires de la Zone 2 de FIBA Afrique qui les opposeront au Cap-Vert, à la Guinée et au Mali. L’intérieur de 2.13m soutiendra l’équipe sénégalaise depuis la ville côtière israélienne de Herzliya, où il évolue au sein du club de Bnei.
Il a décliné sa sélection pour des raisons professionnelles. Il manque ainsi ces éliminatoires en vue de la phase finale à 16 équipes du FIBA AfroBasket 2017 qui aura lieu à Brazzaville (19-30 août).
Mais il est de tout coeur avec le groupe de joueurs qui se rendra cette semaine à Bamako, au Mali, pour la première manche des éliminatoires (17-19 mars). La seconde se disputera une semaine plus tard à Dakar.
« Je suis en contact régulier avec mes coéquipiers en équipe du Sénégal, et je pense que l’effectif a les qualités requises pour ce tournoi, » indique-t-il à FIBA.com.
« J’espère que je serai en mesure de venir à la compétition continentale. J’adore jouer pour mon pays, et je donnerai toujours le meilleur de moi-même pour le Sénégal.
« Je leur ai envoyé un message d’encouragement. Je sais que les gars vont nous rendre fiers. C’est une belle opportunité pour certains d’entre eux. Ces éliminatoires sont le début de quelque chose de grand. »
Souvent décrite comme une des meilleures nations africaines, le Sénégal n’a pas souvent été à la hauteur de ses ambitions continentales.
Il a toutefois remporté le FIBA AfroBasket 1997 qu’il a organisé.
Jusqu’à présent hors d’atteinte, le titre continental sera selon Ndiaye bientôt une réalité.
« Ce n’est un secret pour personne, notre objectif principal est de remporter l’AfroBasket. Tout le monde en parle et nous pensons en avoir les moyens. »
Et ce même en dépit du niveau de jeu actuel des champions d’Afrique en titre du Nigéria ?
Il rétorque : « Il ne fait aucun doute que le Nigeria est le plus sérieux contradicteur. Nous avons joué des matches épiques l’un contre l’autre. Mais bien qu’il soit champion africain, il a intérêt à se méfier de nous. »
Ndiaye donne les raisons de sa confiance quant à la qualification du Sénégal pour la phase finale à Brazzaville.
“Nous avons démontré au monde entier que nous pouvons rivaliser avec tout le monde. Pourquoi avons-nous échoué [au TQO]? Parce que nous avons du retard dans certains secteurs. Il faut que nous soyons tous sur la même longueur d’ondes pour avoir du succès. Nous avons les joueurs, nous avons les coaches et maintenant il nous faut une structure administrative forte. Les choses s’améliorent et nous finirons par y arriver.”
Pour le basketteur de 30 ans, le FIBA AfroBasket de cet été sera déterminant pour le basketball au Sénégal.
« [En 1997 – année du titre] je ne savais pas ce qu’était le basketball. Je l’ai découvert en 2003. De penser que nous pouvons écrire l’histoire de notre pays en remportant un AfroBasket, c’est une énorme source de motivation pour nous autres les joueurs. »
Quand on lui demande comment il voit la suite de sa carrière professionnelle, l’ancien joueur des Sacramento Kings, qui a pas mal bourlingué depuis qu’il a quitté la NBA en 2014, répond : “Je ne dirai jamais non à la NBA, et la NBA représente toujours le but ultime. Cela a été une belle expérience là-bas, mais je suis à la recherche de stabilité et d’une vraie carrière.”
Basket221
Même s’ils n’ont pas réussi à décrocher un billet pour les JO de Rio 2016, Ndiaye insiste sur le fait que leur moral est au beau fixe.
« [En 1997 – année du titre] je ne savais pas ce qu’était le basketball. Je l’ai découvert en 2003. De penser que nous pouvons écrire l’histoire de notre pays en remportant un AfroBasket, c’est une énorme source de motivation pour nous autres les joueurs. » – Ndiaye
Le Sénégal est dès cette semaine en quête d’une place pour le FIBA AfroBasket 2017, via les éliminatoires de la Zone 2 de FIBA Afrique qui les opposeront au Cap-Vert, à la Guinée et au Mali. L’intérieur de 2.13m soutiendra l’équipe sénégalaise depuis la ville côtière israélienne de Herzliya, où il évolue au sein du club de Bnei.
Il a décliné sa sélection pour des raisons professionnelles. Il manque ainsi ces éliminatoires en vue de la phase finale à 16 équipes du FIBA AfroBasket 2017 qui aura lieu à Brazzaville (19-30 août).
Mais il est de tout coeur avec le groupe de joueurs qui se rendra cette semaine à Bamako, au Mali, pour la première manche des éliminatoires (17-19 mars). La seconde se disputera une semaine plus tard à Dakar.
« Je suis en contact régulier avec mes coéquipiers en équipe du Sénégal, et je pense que l’effectif a les qualités requises pour ce tournoi, » indique-t-il à FIBA.com.
« J’espère que je serai en mesure de venir à la compétition continentale. J’adore jouer pour mon pays, et je donnerai toujours le meilleur de moi-même pour le Sénégal.
« Je leur ai envoyé un message d’encouragement. Je sais que les gars vont nous rendre fiers. C’est une belle opportunité pour certains d’entre eux. Ces éliminatoires sont le début de quelque chose de grand. »
Souvent décrite comme une des meilleures nations africaines, le Sénégal n’a pas souvent été à la hauteur de ses ambitions continentales.
Il a toutefois remporté le FIBA AfroBasket 1997 qu’il a organisé.
Jusqu’à présent hors d’atteinte, le titre continental sera selon Ndiaye bientôt une réalité.
« Ce n’est un secret pour personne, notre objectif principal est de remporter l’AfroBasket. Tout le monde en parle et nous pensons en avoir les moyens. »
Et ce même en dépit du niveau de jeu actuel des champions d’Afrique en titre du Nigéria ?
Il rétorque : « Il ne fait aucun doute que le Nigeria est le plus sérieux contradicteur. Nous avons joué des matches épiques l’un contre l’autre. Mais bien qu’il soit champion africain, il a intérêt à se méfier de nous. »
Ndiaye donne les raisons de sa confiance quant à la qualification du Sénégal pour la phase finale à Brazzaville.
“Nous avons démontré au monde entier que nous pouvons rivaliser avec tout le monde. Pourquoi avons-nous échoué [au TQO]? Parce que nous avons du retard dans certains secteurs. Il faut que nous soyons tous sur la même longueur d’ondes pour avoir du succès. Nous avons les joueurs, nous avons les coaches et maintenant il nous faut une structure administrative forte. Les choses s’améliorent et nous finirons par y arriver.”
Pour le basketteur de 30 ans, le FIBA AfroBasket de cet été sera déterminant pour le basketball au Sénégal.
« [En 1997 – année du titre] je ne savais pas ce qu’était le basketball. Je l’ai découvert en 2003. De penser que nous pouvons écrire l’histoire de notre pays en remportant un AfroBasket, c’est une énorme source de motivation pour nous autres les joueurs. »
Quand on lui demande comment il voit la suite de sa carrière professionnelle, l’ancien joueur des Sacramento Kings, qui a pas mal bourlingué depuis qu’il a quitté la NBA en 2014, répond : “Je ne dirai jamais non à la NBA, et la NBA représente toujours le but ultime. Cela a été une belle expérience là-bas, mais je suis à la recherche de stabilité et d’une vraie carrière.”
Basket221