Le Sénégal, en plus de réfectionner le stadium Marius Ndiaye, doit débourser des ’’droits d’organisation’’ de l’ordre de 180 millions de francs CFA, pour co-organiser l’Afrobasket 2017 avec la Tunisie, a appris l’APS mardi de source fédérale sénégalaise.
La FIBA-Afrique a transmis au Sénégal son cahier des charges contenant des dispositions selon lesquelles la partie sénégalaise "doit s’acquitter d’une enveloppe de 180 millions de francs CFA représentant les droits d’organisation", a détaillé cette source.
Il s’y ajoute que le Sénégal doit mettre en place la logistique, assurer le transport et l’hébergement des équipes et des officiels, ajoute la source fédérale.
Le Sénégal, en tant que coorganisateur, devra en outre prendre en charge "le logement en grand standing de la délégation de FIBA et des arbitres et officiels de table, comme cela échoit à tout pays organisateur".
L’organisation de l’Afrobasket 2017, une compétition qui n’est plus qualificative ni à la Coupe du monde de la discipline ni aux Jeux olympiques, est une patate chaude aux mains de l’instance faitière du basketball africain, depuis l’annonce par le Congo de son renoncement à l’organiser pour des raisons financières.
Malgré les candidatures de la Tunisie et de l’Algérie, la FIBA avait annoncé son choix de confier l’organisation de la compétition à l’Angola dont les autorités ont finalement renoncé à l’organiser, invoquant des raisons liées à la tenue d’élections législatives dans ce pays.
Le ministre sénégalais des Sports doit recevoir ce mardi le président de la Fédération sénégalaise de basketball (FSB) dont le président a déclaré avoir obtenu l’accord des pouvoirs pour que le Sénégal accepte de co-organiser l’Afrobasket 2017.
"Nous allons regarder le cahier des charges et les services techniques vont l’étudier, après quoi nous transmettrons à qui de droit", a déclaré à des journalistes le ministre des sports Matar Bâ, suite à l’annonce du choix porté sur le Sénégal et la Tunisie pour l’organisation de l’Afrobasket 2017.
La FIBA-Afrique a transmis au Sénégal son cahier des charges contenant des dispositions selon lesquelles la partie sénégalaise "doit s’acquitter d’une enveloppe de 180 millions de francs CFA représentant les droits d’organisation", a détaillé cette source.
Il s’y ajoute que le Sénégal doit mettre en place la logistique, assurer le transport et l’hébergement des équipes et des officiels, ajoute la source fédérale.
Le Sénégal, en tant que coorganisateur, devra en outre prendre en charge "le logement en grand standing de la délégation de FIBA et des arbitres et officiels de table, comme cela échoit à tout pays organisateur".
L’organisation de l’Afrobasket 2017, une compétition qui n’est plus qualificative ni à la Coupe du monde de la discipline ni aux Jeux olympiques, est une patate chaude aux mains de l’instance faitière du basketball africain, depuis l’annonce par le Congo de son renoncement à l’organiser pour des raisons financières.
Malgré les candidatures de la Tunisie et de l’Algérie, la FIBA avait annoncé son choix de confier l’organisation de la compétition à l’Angola dont les autorités ont finalement renoncé à l’organiser, invoquant des raisons liées à la tenue d’élections législatives dans ce pays.
Le ministre sénégalais des Sports doit recevoir ce mardi le président de la Fédération sénégalaise de basketball (FSB) dont le président a déclaré avoir obtenu l’accord des pouvoirs pour que le Sénégal accepte de co-organiser l’Afrobasket 2017.
"Nous allons regarder le cahier des charges et les services techniques vont l’étudier, après quoi nous transmettrons à qui de droit", a déclaré à des journalistes le ministre des sports Matar Bâ, suite à l’annonce du choix porté sur le Sénégal et la Tunisie pour l’organisation de l’Afrobasket 2017.