En prélude au ndogou –débat annuel qu’il organise dans son Palais Ahmadyana sis sur l’avenue Cheikh Anta Diop, le marabout politicien, Ahmed Khalifa Niass a fait face à la presse, ce mardi. Belle occasion pour le chef religieux Niassène de juger le très célèbre programme économique du Président Macky Sall.
Selon lui : « Depuis plus de 52 ans, on nous fait miroiter le développement. De grands pays comme le japon, l’Allemagne, la France et l’Angleterre ont su se relever, après moult conflagrations. Aujourd’hui, la vérité est que le système mis en place depuis l’indépendance cloche ; il est incompétent et inefficace. Le programme Yonu Yokkute connaître, ma foi, le même sort. Qu’on cesse de nous divertir. Il ne nous mènera nulle part», a-t-il dit.
Pour changer de paradigme, le leader en chef du FAP préconise la résurrection de l’ex- Conseil Supérieur Islamique : « A la fin des années cinquante, tous les chefs confrériques du Sénégal s’étaient réunis à Touba Darou Salam pour asseoir une plateforme pour que la gouvernance sénégalaise n’aille pas à la dérive anti-islamique. Le Conseil Supérieur Islamique était mis sur pied ; elle était une haute autorité morale qui entendait influer sur les grandes décisions. Il ya, urgence, à la ressusciter car des pays comme l’Iran l’ont calquée pour mener leur politique.»
Selon lui : « Depuis plus de 52 ans, on nous fait miroiter le développement. De grands pays comme le japon, l’Allemagne, la France et l’Angleterre ont su se relever, après moult conflagrations. Aujourd’hui, la vérité est que le système mis en place depuis l’indépendance cloche ; il est incompétent et inefficace. Le programme Yonu Yokkute connaître, ma foi, le même sort. Qu’on cesse de nous divertir. Il ne nous mènera nulle part», a-t-il dit.
Pour changer de paradigme, le leader en chef du FAP préconise la résurrection de l’ex- Conseil Supérieur Islamique : « A la fin des années cinquante, tous les chefs confrériques du Sénégal s’étaient réunis à Touba Darou Salam pour asseoir une plateforme pour que la gouvernance sénégalaise n’aille pas à la dérive anti-islamique. Le Conseil Supérieur Islamique était mis sur pied ; elle était une haute autorité morale qui entendait influer sur les grandes décisions. Il ya, urgence, à la ressusciter car des pays comme l’Iran l’ont calquée pour mener leur politique.»
Rappelons que ce ndogou-débat qui enregistra la présence du gotha confrérique du pays sera l’occasion de traiter des thèmes comme « la gouvernance islamique est –elle une alternative pour le Sénégal ? » « L’exégèse coranique. »