Et pour cause, le coach français de l’équipe de football du Sénégal ne comprend toujours pas cette atmosphère qui pollue l’organisation logistique du stage. Et s’en donne à cœur de joie, si l’on en croit l’observateur car, à chaque fois, il a l’occasion d’en parler « Ce qui m’agace, c’est quand mes joueurs me disent que c’est toujours comme ça. Si les joueurs ont toujours ce fatalisme, ce n’est pas bon. J’en parle parce que le manager de l’hôtel m’a interpellé. Les joeurs entendent des choses, je me demande. Je me demande s’ils sont dans la sérénité totale » s’indigne t-il.
Ceci a fait dire à Giresse que, si ces voyages ne correspondent pas à des conditions normales, cela peut jouer sur le résultat samedi prochain contre l’Angola (retour, éliminatoire mondial 2014). « Ce n’est pas l’image que je fait du Sénégal » a expliqué le coach, comme s’il était en train justifier une éventuelle défaite face aux Palancas négras « ça c’est très sénégalais. Vous justifiez un échec à l’avance. Alors faites n’importe quoi, c’est très grave. Vous cautionnez ce que disent ces gens là ! », conclut t-il.
Ceci a fait dire à Giresse que, si ces voyages ne correspondent pas à des conditions normales, cela peut jouer sur le résultat samedi prochain contre l’Angola (retour, éliminatoire mondial 2014). « Ce n’est pas l’image que je fait du Sénégal » a expliqué le coach, comme s’il était en train justifier une éventuelle défaite face aux Palancas négras « ça c’est très sénégalais. Vous justifiez un échec à l’avance. Alors faites n’importe quoi, c’est très grave. Vous cautionnez ce que disent ces gens là ! », conclut t-il.