L’ancien milieu des Bleus de Michel Platini est satisfait d’avoir fait une revue d’effectif lors d’un match amical tendu contre la Guinée (1-1), mardi soir à Saint-Leu-la-Forêt, en banlieue parisienne.
Alain, c’est une nouvelle aventure qui commence…
On peut appeler ça comme ça. C’est un nouveau challenge avec une nouvelle équipe. Il faut repartir de zéro, comme à chaque fois avec une sélection nationale.
Qu’avez-vous pensé de ce nul contre la Guinée ?
Cela m’a permis de découvrir encore plus les joueurs, de les voir en situation de jeu, en plus de ce qui a été fait lors du rassemblement. J’ai fait une revue d’effectif, en faisant jouer quasiment tout le monde. Les conditions de jeu étaient difficiles mais c’était important pour moi d’avoir davantage d’informations à travers un match. C’est ce qui me permet de connaître mes joueurs.
Des objectifs ont-ils été fixés par la Fédération ?
Il faut gagner, toujours gagner, faire en sorte que l’équipe soit performance. L’objectif, c’est au moins de revenir à la Coupe d’Afrique. C’est une compétition que le Sénégal doit normalement jouer à chaque fois, vu la qualité des joueurs.
Beaucoup d’attaquants et beaucoup de défenseurs centraux
Vous avez donné le brassard de capitaine à Mohamed Diamé (le capitaine des Olympiques l’été dernier). Est-ce important de confier cette responsabilité à un milieu de terrain ?
Je l’ai choisi aujourd’hui parce qu’il en fallait un, mais cela a changé durant la partie. On donnera le brassard quand ce sera le moment, à savoir avant le prochain match (le 22 mars, contre l’Angola, lors de la 3e journée du 2e tour des qualifications pour la Coupe du monde, ndlr). Le capitaine doit répondre aux critères habituels, avec une valeur morale au sein de l’effectif.
Le travail semble encore long…
Le match a donné ce résultat. J’ai retenu des choses, ça va me permettre d’avancer dans mon travail de sélectionneur. Je n’avais pas de repères sur ce que faisaient habituellement les joueurs. Il y a du travail encore, c’est certain. L’équipe doit encore se peaufiner car le chantier est toujours d’actualité. La construction est permanente. Il faut du temps pour trouver les meilleures complémentarités avec le problème que l’on connaît dans ce groupe, puisqu’il y a beaucoup d’attaquants et beaucoup de défenseurs centraux.
Alain, c’est une nouvelle aventure qui commence…
On peut appeler ça comme ça. C’est un nouveau challenge avec une nouvelle équipe. Il faut repartir de zéro, comme à chaque fois avec une sélection nationale.
Qu’avez-vous pensé de ce nul contre la Guinée ?
Cela m’a permis de découvrir encore plus les joueurs, de les voir en situation de jeu, en plus de ce qui a été fait lors du rassemblement. J’ai fait une revue d’effectif, en faisant jouer quasiment tout le monde. Les conditions de jeu étaient difficiles mais c’était important pour moi d’avoir davantage d’informations à travers un match. C’est ce qui me permet de connaître mes joueurs.
Des objectifs ont-ils été fixés par la Fédération ?
Il faut gagner, toujours gagner, faire en sorte que l’équipe soit performance. L’objectif, c’est au moins de revenir à la Coupe d’Afrique. C’est une compétition que le Sénégal doit normalement jouer à chaque fois, vu la qualité des joueurs.
Beaucoup d’attaquants et beaucoup de défenseurs centraux
Vous avez donné le brassard de capitaine à Mohamed Diamé (le capitaine des Olympiques l’été dernier). Est-ce important de confier cette responsabilité à un milieu de terrain ?
Je l’ai choisi aujourd’hui parce qu’il en fallait un, mais cela a changé durant la partie. On donnera le brassard quand ce sera le moment, à savoir avant le prochain match (le 22 mars, contre l’Angola, lors de la 3e journée du 2e tour des qualifications pour la Coupe du monde, ndlr). Le capitaine doit répondre aux critères habituels, avec une valeur morale au sein de l’effectif.
Le travail semble encore long…
Le match a donné ce résultat. J’ai retenu des choses, ça va me permettre d’avancer dans mon travail de sélectionneur. Je n’avais pas de repères sur ce que faisaient habituellement les joueurs. Il y a du travail encore, c’est certain. L’équipe doit encore se peaufiner car le chantier est toujours d’actualité. La construction est permanente. Il faut du temps pour trouver les meilleures complémentarités avec le problème que l’on connaît dans ce groupe, puisqu’il y a beaucoup d’attaquants et beaucoup de défenseurs centraux.