Annoncé plusieurs fois au cours du dernier mois, le départ d’Ali Abdallah Saleh du Yémen n’est pas une surprise. Ce sont des hésitations de la part de Washington à accueillir le président yéménite sur son territoire qui ont retardé le voyage.
L’administration Obama craint notamment d’être critiquée pour recevoir un dirigeant accusé d’avoir provoqué la mort de centaine de manifestants opposés à son régime. Les responsables américains insistent donc sur le fait que Saleh est admis pour de réelles raisons médicales.
Le respect des termes de l’accord de Riyad pourraient également avoir encouragé la Maison Blanche a donné son feu vert à la venue du chef de l’Etat yéménite. Le week-end dernier le Parlement a entériné la loi sur l’immunité de Saleh. Dans la capitale yéménite, les points de contrôle militaires disparaissent progressivement des grandes artères.
Ali Abdallah Saleh fait ses au revoir mais pas ses adieux… Avant de prendre l’avion, il a précisé qu’il reviendra à Sanaa pour diriger le Congrès général du peuple, le parti au pouvoir.
Source: RFI
L’administration Obama craint notamment d’être critiquée pour recevoir un dirigeant accusé d’avoir provoqué la mort de centaine de manifestants opposés à son régime. Les responsables américains insistent donc sur le fait que Saleh est admis pour de réelles raisons médicales.
Le respect des termes de l’accord de Riyad pourraient également avoir encouragé la Maison Blanche a donné son feu vert à la venue du chef de l’Etat yéménite. Le week-end dernier le Parlement a entériné la loi sur l’immunité de Saleh. Dans la capitale yéménite, les points de contrôle militaires disparaissent progressivement des grandes artères.
Ali Abdallah Saleh fait ses au revoir mais pas ses adieux… Avant de prendre l’avion, il a précisé qu’il reviendra à Sanaa pour diriger le Congrès général du peuple, le parti au pouvoir.
Source: RFI