Comment se passe la préparation en ce moment en France ?
Là, on prépare une échéance importante. Tout le monde le sait. C’est une première pour le Sénégal, pour nous (staff) et pour les joueurs. On sait qu’on n’est pas les favoris. Maintenant, ne pas être favoris ne veut pas dire non plus qu’on n’a pas d’ambitions. Nous en avons. Nous allons essayer de défendre notre maillot, notre pays et montrer aussi qu’il y a effectivement de la qualité dans cette équipe-là et des arguments à faire valoir. Au niveau du groupe, tout se passe bien. Les joueurs arrivent petit à petit. Il y en a qu’on attend parce qu’ils sont avec leur club. Surtout les «Norvégiens» (Lire aussi).
Est-ce que cela peut poser un handicap au niveau de la préparation ?
Non ! On est quand même au nombre de 18 plus les quatre qui sont sur la liste d’attente. On est donc 22. On essaie de bien se préparer. Disons que le noyau dur de l’équipe est là. Il n’y a pas de soucis. On arrive quand même à travailler correctement, à mettre en place des choses. Donc, il n’y a pas de problèmes.
Face à l’enjeu, sentez-vous une pression dans ce groupe qui est quand même constitué de jeunes joueurs ?
Non du tout ! Il n’y a pas de pression. Les joueurs doivent jouer surtout. Ce qu’on leur demande, c’est de jouer. Aujourd’hui, c’est eux qui ont la chance de jouer les Jeux Olympiques, personne n’a eu cette chance-là, de prétendre jouer les Jeux Olympiques. Il ne faut surtout pas que ce soit une pression. Au contraire, il faut que ça les transcende, cette compétition-là. On sait que personne ne nous attend. Dans un groupe où on a la Grande Bretagne et l’Uruguay qui ont l’habitude des grandes compétitions. Quand on voit la Grande Bretagne qui se renforce avec Bellamy (Craig Douglas), Giggs (Ryan) qui sont des monuments du football britannique, on ne peut pas dire aujourd’hui qu’on est les favoris dans cette poule-là. Mais ce n’est pas parce qu’on n’est pas favori qu’on n’a pas d’ambitions. Donc, la pression, nous n’en avons pas parce qu’on a tout à gagner dans cette histoire-là. On y va avec beaucoup de détermination, d’ambitions, de concentration, de motivation. C’est un plus pour nous, pour les jeunes, pour le football sénégalais.
Quel est l’objectif que vous vous êtes fixés ?
C’est de faire un bon parcours. Il nous tient à cœur de faire un bon parcours. On n’y va pas en promenade de santé. On a envie de représenter dignement le football sénégalais et africain et aller le plus loin possible.
Sur le plan personnel, les Jo représentent quoi pour vous ?
Le jeune entraîneur que je suis, participer à ces tournois-là, c’est super important. C’est une évolution. C’est une continuité de ce que je fais depuis quatre à cinq ans dans ce métier-là. Aujourd’hui, j’ai l’opportunité, la chance de fréquenter les plus grands stades d’Europe. Je vais jouer contre les plus grandes équipes du monde. Pour ma progression, mon expérience, c’est énorme, c’est fantastique. Je suis super excité d’y être.
Vous avez trois matchs amicaux à disputer avant le début du tournoi. Qu’attendez-vous de ces rencontres ?
Ce qu’on essaye de trouver, c’est un style de jeu. On va continuer sur ce qu’on est en train de faire depuis qu’on a pris l’équipe. On va continuer à mettre en place une identité propre à nous et essayer d’imposer notre style de jeu à l’adversaire. Nous savons que ce sont des matchs de préparation difficiles, ça nous permettra aussi de voir où nous en sommes. On joue l’Espagne, après la Suisse et la Corée du Sud. Ce sont de grandes Nations de football. Avant le match du 26, on va savoir où est-ce que nous en sommes.
Malheureusement, vous ne pourrez pas compter sur le capitaine des Lions, Papiss Demba Cissé qui a été retenu par son club, Newcastle. Est-ce un handicap pour le groupe ?
On est déçus comme tout le monde. Chaque entraîneur aimerait avoir les meilleurs joueurs de son pays. Mais Papiss (Demba Cissé) n’est pas là. Ce n’est pas parce qu’il n’a pas envie. Il avait envie de jouer pour son pays, de jouer les Jeux Olympiques. Maintenant, la vie continue. On va continuer à préparer cette équipe-là avec les moyens qu’on a, avec les joueurs qui sont là. Il faut maintenant se concentrer sur ceux qui sont là et qui ont également envie de défendre les couleurs nationales. Il y aura Momo Diamé, Dame Ndoye et Pape Guèye, comme anciens. On a quand même des renforts de qualité.
Qu’en est-il des conditions de préparation. Est-ce que tout est en place ?
Tout se passe bien. On a eu quelques soucis. Mais dans l’ensemble, on ne se plaint pas. Ce qui était important, c’était de faire ce stage à Vichy et de pouvoir avoir ces trois matches de préparation. Voilà ! On va y aller avec beaucoup de concentration et de conviction.
Là, on prépare une échéance importante. Tout le monde le sait. C’est une première pour le Sénégal, pour nous (staff) et pour les joueurs. On sait qu’on n’est pas les favoris. Maintenant, ne pas être favoris ne veut pas dire non plus qu’on n’a pas d’ambitions. Nous en avons. Nous allons essayer de défendre notre maillot, notre pays et montrer aussi qu’il y a effectivement de la qualité dans cette équipe-là et des arguments à faire valoir. Au niveau du groupe, tout se passe bien. Les joueurs arrivent petit à petit. Il y en a qu’on attend parce qu’ils sont avec leur club. Surtout les «Norvégiens» (Lire aussi).
Est-ce que cela peut poser un handicap au niveau de la préparation ?
Non ! On est quand même au nombre de 18 plus les quatre qui sont sur la liste d’attente. On est donc 22. On essaie de bien se préparer. Disons que le noyau dur de l’équipe est là. Il n’y a pas de soucis. On arrive quand même à travailler correctement, à mettre en place des choses. Donc, il n’y a pas de problèmes.
Face à l’enjeu, sentez-vous une pression dans ce groupe qui est quand même constitué de jeunes joueurs ?
Non du tout ! Il n’y a pas de pression. Les joueurs doivent jouer surtout. Ce qu’on leur demande, c’est de jouer. Aujourd’hui, c’est eux qui ont la chance de jouer les Jeux Olympiques, personne n’a eu cette chance-là, de prétendre jouer les Jeux Olympiques. Il ne faut surtout pas que ce soit une pression. Au contraire, il faut que ça les transcende, cette compétition-là. On sait que personne ne nous attend. Dans un groupe où on a la Grande Bretagne et l’Uruguay qui ont l’habitude des grandes compétitions. Quand on voit la Grande Bretagne qui se renforce avec Bellamy (Craig Douglas), Giggs (Ryan) qui sont des monuments du football britannique, on ne peut pas dire aujourd’hui qu’on est les favoris dans cette poule-là. Mais ce n’est pas parce qu’on n’est pas favori qu’on n’a pas d’ambitions. Donc, la pression, nous n’en avons pas parce qu’on a tout à gagner dans cette histoire-là. On y va avec beaucoup de détermination, d’ambitions, de concentration, de motivation. C’est un plus pour nous, pour les jeunes, pour le football sénégalais.
Quel est l’objectif que vous vous êtes fixés ?
C’est de faire un bon parcours. Il nous tient à cœur de faire un bon parcours. On n’y va pas en promenade de santé. On a envie de représenter dignement le football sénégalais et africain et aller le plus loin possible.
Sur le plan personnel, les Jo représentent quoi pour vous ?
Le jeune entraîneur que je suis, participer à ces tournois-là, c’est super important. C’est une évolution. C’est une continuité de ce que je fais depuis quatre à cinq ans dans ce métier-là. Aujourd’hui, j’ai l’opportunité, la chance de fréquenter les plus grands stades d’Europe. Je vais jouer contre les plus grandes équipes du monde. Pour ma progression, mon expérience, c’est énorme, c’est fantastique. Je suis super excité d’y être.
Vous avez trois matchs amicaux à disputer avant le début du tournoi. Qu’attendez-vous de ces rencontres ?
Ce qu’on essaye de trouver, c’est un style de jeu. On va continuer sur ce qu’on est en train de faire depuis qu’on a pris l’équipe. On va continuer à mettre en place une identité propre à nous et essayer d’imposer notre style de jeu à l’adversaire. Nous savons que ce sont des matchs de préparation difficiles, ça nous permettra aussi de voir où nous en sommes. On joue l’Espagne, après la Suisse et la Corée du Sud. Ce sont de grandes Nations de football. Avant le match du 26, on va savoir où est-ce que nous en sommes.
Malheureusement, vous ne pourrez pas compter sur le capitaine des Lions, Papiss Demba Cissé qui a été retenu par son club, Newcastle. Est-ce un handicap pour le groupe ?
On est déçus comme tout le monde. Chaque entraîneur aimerait avoir les meilleurs joueurs de son pays. Mais Papiss (Demba Cissé) n’est pas là. Ce n’est pas parce qu’il n’a pas envie. Il avait envie de jouer pour son pays, de jouer les Jeux Olympiques. Maintenant, la vie continue. On va continuer à préparer cette équipe-là avec les moyens qu’on a, avec les joueurs qui sont là. Il faut maintenant se concentrer sur ceux qui sont là et qui ont également envie de défendre les couleurs nationales. Il y aura Momo Diamé, Dame Ndoye et Pape Guèye, comme anciens. On a quand même des renforts de qualité.
Qu’en est-il des conditions de préparation. Est-ce que tout est en place ?
Tout se passe bien. On a eu quelques soucis. Mais dans l’ensemble, on ne se plaint pas. Ce qui était important, c’était de faire ce stage à Vichy et de pouvoir avoir ces trois matches de préparation. Voilà ! On va y aller avec beaucoup de concentration et de conviction.