L’affaire Malick Noël Seck étend ses tentacules. Après les différentes structures de Dakar, Thiès et même le Mouvement des élèves et étudiants socialistes, c’est au tour, hier, de la banlieue de demander l’exclusion du secrétaire général de Convergence socialiste. A l’occasion d’une assemblée générale de renouvellement des comités de quartier de Wakhinane Nimzatt, le maire de ladite commune, Alioune Badara Faye, s’est prononcé sur «le cas de Noël Seck» qui, selon lui «essaie de déstabiliser le parti». M. Faye, par ailleurs membre du Bureau politique du Ps estime, cependant, que «normalement on ne devrait pas en faire un débat» puisque le secrétaire général de Convergence socialiste «est seul (dans son combat) ; il n’est soutenu par personne», dit-il. Il n’empêche que, annonce M. Faye, «des décisions vont être prises pour le faire remplacer. Ce que ce garçon est en train de faire ne concerne que lui et personne d’autre». Cette précision est une réponse aux allusions de ceux qui voient «la main» du maire de Dakar, Khalifa Sall, et de Aïssata Tall Sall derrière le jeune socialiste.
Alioune Badara Faye croit que «c’est trop facile de s’attaquer au secrétaire général et on ne devrait pas le laisser faire, car trop c’est trop». Non sans rassurer : «Aujourd’hui, il y a une unité totale autour de Tanor Dieng.» Pour lui, «les inondations et les problèmes des populations sont beaucoup plus que importants que Noël Seck».
Le Quotidien
Alioune Badara Faye croit que «c’est trop facile de s’attaquer au secrétaire général et on ne devrait pas le laisser faire, car trop c’est trop». Non sans rassurer : «Aujourd’hui, il y a une unité totale autour de Tanor Dieng.» Pour lui, «les inondations et les problèmes des populations sont beaucoup plus que importants que Noël Seck».
Le Quotidien