Le successeur de Cheikh Tidiane Mbaye est en effet ‘’fort d’une expérience professionnelle de 26 ans’’, selon le communiqué de presse annonçant le choix porté sur sa personne pour diriger cette entreprise phare de l’économie sénégalaise.
‘’Il a évolué notamment dans le domaine de la Finance en tant que directeur de contrôle de gestion puis directeur financier de la SONATEL’’, rappelle la même source.
Le nouveau directeur général du Groupe SONATEL a aussi ‘’dirigé la filiale Orange Mali depuis son lancement en 2002 pour en faire l’opérateur leader sur son marché, avec plus de 7 millions de clients mobiles à ce jour’’.
Selon le texte, ‘’Alioune Ndiaye prendra ses fonctions en tant que directeur général du Groupe SONATEL à compter du 1er octobre 2012’’.
Parlant de lui, Marc Rennard, président du Conseil d’administration du groupe, s’est dit ‘’certain’’ qu’il ‘’saura poursuivre le développement de la SONATEL en associant performance économique, développement social et écoute de l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise’’.
Diplômé de l'Institut national des télécommunications d'Evry et titulaire d’un DESS de Gestion des télécommunications de Paris-Dauphine, c’est lui qui a la redoutable tâche de remplacer Cheikh Mbaye, arrivé à la tête de l’entreprise en 1988, en remplacement de Alassane Dialy Ndiaye. Un défi de taille au vu du bilan pour le moins élogieux de son prédécesseur dont il est présenté comme un proche.
Selon le site de Jeune Afrique, ‘’même après son départ au Mali, il était resté l’un des principaux conseillers personnels de l’ancien directeur général’’.
Cette publication en ligne le décrit comme un homme ‘’diplomate, prudent et discret’’ et prédit qu’il ‘’ne devrait pas apporter de vraie rupture dans la stratégie de la SONATEL, dont les résultats économiques sont unanimement salués’’.
‘’À court terme, son principal dossier sera la gestion au Mali avec son successeur, Jean-Luc Bohé, de l’arrivée d’un troisième opérateur sur le marché. Autre dossier à l’agenda d’Alioune Ndiaye, participer davantage à l’émergence des nouvelles technologies au Sénégal. C’est en tout cas le souhait des PME du secteur’’, souligne Jeune Afrique.
‘’Il a évolué notamment dans le domaine de la Finance en tant que directeur de contrôle de gestion puis directeur financier de la SONATEL’’, rappelle la même source.
Le nouveau directeur général du Groupe SONATEL a aussi ‘’dirigé la filiale Orange Mali depuis son lancement en 2002 pour en faire l’opérateur leader sur son marché, avec plus de 7 millions de clients mobiles à ce jour’’.
Selon le texte, ‘’Alioune Ndiaye prendra ses fonctions en tant que directeur général du Groupe SONATEL à compter du 1er octobre 2012’’.
Parlant de lui, Marc Rennard, président du Conseil d’administration du groupe, s’est dit ‘’certain’’ qu’il ‘’saura poursuivre le développement de la SONATEL en associant performance économique, développement social et écoute de l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise’’.
Diplômé de l'Institut national des télécommunications d'Evry et titulaire d’un DESS de Gestion des télécommunications de Paris-Dauphine, c’est lui qui a la redoutable tâche de remplacer Cheikh Mbaye, arrivé à la tête de l’entreprise en 1988, en remplacement de Alassane Dialy Ndiaye. Un défi de taille au vu du bilan pour le moins élogieux de son prédécesseur dont il est présenté comme un proche.
Selon le site de Jeune Afrique, ‘’même après son départ au Mali, il était resté l’un des principaux conseillers personnels de l’ancien directeur général’’.
Cette publication en ligne le décrit comme un homme ‘’diplomate, prudent et discret’’ et prédit qu’il ‘’ne devrait pas apporter de vraie rupture dans la stratégie de la SONATEL, dont les résultats économiques sont unanimement salués’’.
‘’À court terme, son principal dossier sera la gestion au Mali avec son successeur, Jean-Luc Bohé, de l’arrivée d’un troisième opérateur sur le marché. Autre dossier à l’agenda d’Alioune Ndiaye, participer davantage à l’émergence des nouvelles technologies au Sénégal. C’est en tout cas le souhait des PME du secteur’’, souligne Jeune Afrique.