À l’occasion du sommet virtuel sur les limites de mandat constitutionnel en Afrique, l’ancienne présidente du Conseil économique, social et environnemental (Cese) s’est prononcée sur la question du troisième (3ème) mandat du président Macky Sall. Selon Mme Aminata Touré, la question du 3ème mandat est derrière nous, car le président Macky Sall a été réélu le 24 février 2019, et il a affirmé à de nombreuses reprises qu’il effectuait son second et dernier mandat.
« Le cas du Sénégal, suite au choix constitutionnel effectué lors du referendum du 20 mars 2019. À cette occasion, le Sénégal a modifié sa Constitution limitant les mandats présidentiels à deux mandants consécutifs mais avec une précision importante qui était à l’époque clairement voulue qui précise à l’article premier : ‘’ la durée du mandant du président de la République est de 5 ans. Et, nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs », a rappelé l’ancien Premier ministre du Sénégal.
Donc, renseigne-t-elle, le président Macky Sall a été réélu le 24 février 2019, et il affirmait à de nombreuses reprises qu’il effectuait son second et dernier mandat. « Notamment sa dernière déclaration qui datait du 31 décembre 2018. Donc, au Sénégal, la question est derrière nous. Comme je l’ai dit à plusieurs occasions », a noté Mme Touré.
À l’en croire, il faut dire qu’aujourd’hui sur 55 Etats membres de l’Union Africaine, 35 pays dispose de la clause de limitation des mandats. Ce qui veut dire que dans la majorité des pays en Afrique, les Constitutions stipulent clairement qu’il faudrait limiter les mandats. « Les pays à travers leur peuple, se choisissent leur constitution. Donc, la question de la limitation des mandats s’analyse à travers les choix constitutionnels des pays. Ce qui est attendu sur le continent et partout, ailleurs, c’est le respect des constitutions qui constitue le gage de la stabilité des pays », a-t-elle conclu lors de son intervention au sommet virtuel sur les limites de mandats constitutionnels en Afrique.
« Le cas du Sénégal, suite au choix constitutionnel effectué lors du referendum du 20 mars 2019. À cette occasion, le Sénégal a modifié sa Constitution limitant les mandats présidentiels à deux mandants consécutifs mais avec une précision importante qui était à l’époque clairement voulue qui précise à l’article premier : ‘’ la durée du mandant du président de la République est de 5 ans. Et, nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs », a rappelé l’ancien Premier ministre du Sénégal.
Donc, renseigne-t-elle, le président Macky Sall a été réélu le 24 février 2019, et il affirmait à de nombreuses reprises qu’il effectuait son second et dernier mandat. « Notamment sa dernière déclaration qui datait du 31 décembre 2018. Donc, au Sénégal, la question est derrière nous. Comme je l’ai dit à plusieurs occasions », a noté Mme Touré.
À l’en croire, il faut dire qu’aujourd’hui sur 55 Etats membres de l’Union Africaine, 35 pays dispose de la clause de limitation des mandats. Ce qui veut dire que dans la majorité des pays en Afrique, les Constitutions stipulent clairement qu’il faudrait limiter les mandats. « Les pays à travers leur peuple, se choisissent leur constitution. Donc, la question de la limitation des mandats s’analyse à travers les choix constitutionnels des pays. Ce qui est attendu sur le continent et partout, ailleurs, c’est le respect des constitutions qui constitue le gage de la stabilité des pays », a-t-elle conclu lors de son intervention au sommet virtuel sur les limites de mandats constitutionnels en Afrique.