Depuis sa nomination, suite au scandale de trafic de drogue impliquant sur prédécesseur le commissaire Abdoulaye Niang, Anna Sémou Faye peine à faire l’unanimité autour d’elle. A maintes reprises, des sources ont noté des grognes au sein de son entourage, notamment dans plusieurs services relevant de son ministère, d’une part et de la (Dgpn) de l’autre. Les porteurs de ces coups de sabots, de hauts responsables de la hiérarchie de la Police sont toujours montés au créneau dans l’anonymat, soutenant qu’elle serait une femme qui ne pense qu’à elle, dans ce corps comme dans les autres d’ailleurs imposant toujours le travail d’équipe. «A ce rythme, le chef de l’Etat sera obligé de remercier de la police nationale (Dgpn), pour ne pas exposer le pays aux incalculables risques d’une guerre des polices. Car, tout le monde sait que depuis le duel fratricide qui a opposé les commissaires Abdoulaye Niang et Cheikh Sadibou Keïta, la police sénégalaise est au creux de la vague».
C’est qu’a confié, hier, une source digne de foi. Pis, l’interlocuteur signale que «la commissaire divisionnaire Anna Sémou Faye a réussi le tour de passe-passe de se mettre à dos, en un temps record, certains segments de la police qui devaient lui être d’un apport considérable». Résultats des courses : «il y a une rétention d’information (les fameux bulletins de renseignement ne montent plus comme il se doit) et beaucoup de gens ont fini de croiser les bras pour voir venir». Si les pouvoirs publics sont sur le point d’en arriver à cette «extrémité», c’est parce que «le syndrome des casses d’un passé récent hante encore l’Etat qui ne veut plus se laisser surprendre de la sorte». Il s’y ajoute qu’il est reproché à la patronne de la police nationale «d’avoir ses hommes et de ne pas faire preuve d’une certaine souplesse pour tirer le maximum de ses collaborateurs».
Rewmi.com
C’est qu’a confié, hier, une source digne de foi. Pis, l’interlocuteur signale que «la commissaire divisionnaire Anna Sémou Faye a réussi le tour de passe-passe de se mettre à dos, en un temps record, certains segments de la police qui devaient lui être d’un apport considérable». Résultats des courses : «il y a une rétention d’information (les fameux bulletins de renseignement ne montent plus comme il se doit) et beaucoup de gens ont fini de croiser les bras pour voir venir». Si les pouvoirs publics sont sur le point d’en arriver à cette «extrémité», c’est parce que «le syndrome des casses d’un passé récent hante encore l’Etat qui ne veut plus se laisser surprendre de la sorte». Il s’y ajoute qu’il est reproché à la patronne de la police nationale «d’avoir ses hommes et de ne pas faire preuve d’une certaine souplesse pour tirer le maximum de ses collaborateurs».
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