Le Ministre Awa Marie Coll SECK n’a plus sa place dans le Gouvernement, suite à l’engagement du Président Macky SALL à faire une priorité le problème des malades mentaux, en donnant des instructions les concernant, en plein Conseil des ministres, le mercredi 03 décembre 2014. Ainsi, à travers ce geste, il adhère enfin à la cause de l’ASSAMM qui l’a suffisamment interpellé sur cette question préoccupant énormément la population. Pour rappel, depuis son retour en 2012 à la tête du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale, le Professeur Awa Marie Coll SECK, se livre paradoxalement à une bataille contre Ansoumana DIONE et ses protégés, dans le but d’anéantir ses longues années de luttes, les privant du coup leurs droits à la santé et au bien-être. D’ailleurs, c’est pour ces raisons qu’elle avait empêché la tenue du Conseil interministériel sur l’errance des malades mentaux, préférant présider le lundi 30 septembre 2013, une réunion interministérielle à laquelle nous avions refusé de prendre part.
Aujourd’hui, plus d’un an après cette rencontre injustement tenue malgré nous, sur la base du Document introductif au Conseil interministériel que nous avions nous-mêmes élaboré en compagnie du Professeur Aïda SYLLA, Chef de la Division de la Santé Mentale, le Président Macky SALL s’est rendu compte que le Ministre Awa Marie Coll SECK a trop banalisé ce sujet des malades mentaux. C’est pourquoi, suite à ma décision d’observer une grève de la faim, le jeudi 04 décembre 2014, pour exiger des satisfactions à nos revendications, il a pris ses responsabilités à travers ces directives, désavouant ainsi son Ministre de la Santé et de l’Action Sociale qui doit maintenant lui présenter sa démission pour céder la place à un autre, sensible aux calvaires des malades mentaux notamment errants et respectueux envers sa vision en matière de santé mentale.
2- Après un séjour à l’Hôpital psychiatrique de Thiaroye,
la vieille malade mentale du Palais de la République rentre au bercail.
La vieille malade mentale qui avait élu domicile depuis très longtemps devant le Palais de la République, à côté du Building administratif, est rentée au bercail, après un séjour décidé par les autorités, à l’Hôpital psychiatrique de Thiaroye. Seulement, ces dernières ignorent encore que cet Etablissement Public de Santé n’est plus adapté pour assurer une prise en charge médicale aux malades mentaux errants et c’est la raison pour laquelle, la plupart d’entre eux qui y sont internés, ne bénéficie pas de soins adéquats. Donc, aujourd’hui, pour combler ce déficit, il faudra mettre à leur disposition, le Centre d’Encadrement et de Traitement, construit à Kaolack à cet effet depuis 2004, tout en confiant la gestion à l’ASSAMM, initiatrice et bénéficiaire, pour une résolution efficace de ce grave phénomène national.
Toutefois, cette histoire illustre encore le manque de sérieux du Ministre Awa Marie Coll SECK avec les malades mentaux dont elle n’hésite pas à jouer avec leurs souffrances comme ceux-là, y comprise cette vieille femme, qu’elle avait faits amener à l’inauguration, le 1er avril 2014, du centre de Kaolack pour faire croire aux populations que cette structure sert uniquement à la réinsertion sociale des malades mentaux stabilisés. Catastrophe ! Pour toutes ces raisons, nous demandons au Premier Ministre Monsieur Mouhamed DIONNE de bien vouloir prendre ses responsabilités pour exécuter les directives du Président Macky SALL, en convoquant un Conseil interministériel sur l’errance des malades mentaux à l’issu duquel, une Commission Nationale chargée de la gestion de ce vaste problème social dont la résolution nécessite obligatoirement l’implication de l’ensemble des acteurs concernés, devra être mise en place.
3- Quand je vois un malade mental errant,
je suis peiné et il me faut une audience avec le Président Macky SALL.
L’homme est-il le remède de l’homme au Sénégal ? En fait, je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi notre société tarde encore à venir en aide aux malades mentaux errants. Pourtant, notre tradition est formelle. Elle nous recommande d’être solidaires avec tout individu vivant dans des difficultés, pour mieux préserver la paix et la stabilité, gages de notre cohésion nationale. Justement, pour mettre fin à ce vaste phénomène social, seul un élan de solidarité agissante pourra nous permettre d’y parvenir tel que nous l’avions programmé depuis l’an 2000, un Centre existant déjà à kaolack, pour leur prise en charge médicale gratuite, leur facilitant un retour dans la société. C’est pourquoi, je souhaite rencontrer le Président Macky SALL, devenu maintenant un défenseur de cette frange vulnérable de notre population, pour que les solutions qui sont à notre disposition puissent être déroulées convenablement au grand bonheur des citoyens.
Aujourd’hui, avec cette nouvelle donne, je suis plus optimiste de voire un jour les conditions de vie des malades mentaux, d’ici et d’ailleurs, s’améliorer considérablement pour soulager les souffrances de millions de familles touchées par les troubles mentaux qui constituent de nos jours un lourd fardeau pour les communautés. Et, avec le Président Macky SALL, l’espoir est permis puisque l’une des choses qui manquait aux acteurs de la Santé Mentale et aux usagers, était d’avoir un dirigeant engagé, capable de porter le plaidoyer auprès des institutions internationales, pour une meilleure considération de la lutte contre ces genres de pathologies extrêmement graves et invalidantes, causant d’énormes difficultés aux populations. Même dans les grandes puissances, les personnes victimes de troubles mentaux et de toxicomanies vivent des calvaires indescriptibles à plus forte raison dans les pays en voie de développement, d’où la nécessité d’un véritable plaidoyer au niveau mondial.
Aujourd’hui, plus d’un an après cette rencontre injustement tenue malgré nous, sur la base du Document introductif au Conseil interministériel que nous avions nous-mêmes élaboré en compagnie du Professeur Aïda SYLLA, Chef de la Division de la Santé Mentale, le Président Macky SALL s’est rendu compte que le Ministre Awa Marie Coll SECK a trop banalisé ce sujet des malades mentaux. C’est pourquoi, suite à ma décision d’observer une grève de la faim, le jeudi 04 décembre 2014, pour exiger des satisfactions à nos revendications, il a pris ses responsabilités à travers ces directives, désavouant ainsi son Ministre de la Santé et de l’Action Sociale qui doit maintenant lui présenter sa démission pour céder la place à un autre, sensible aux calvaires des malades mentaux notamment errants et respectueux envers sa vision en matière de santé mentale.
2- Après un séjour à l’Hôpital psychiatrique de Thiaroye,
la vieille malade mentale du Palais de la République rentre au bercail.
La vieille malade mentale qui avait élu domicile depuis très longtemps devant le Palais de la République, à côté du Building administratif, est rentée au bercail, après un séjour décidé par les autorités, à l’Hôpital psychiatrique de Thiaroye. Seulement, ces dernières ignorent encore que cet Etablissement Public de Santé n’est plus adapté pour assurer une prise en charge médicale aux malades mentaux errants et c’est la raison pour laquelle, la plupart d’entre eux qui y sont internés, ne bénéficie pas de soins adéquats. Donc, aujourd’hui, pour combler ce déficit, il faudra mettre à leur disposition, le Centre d’Encadrement et de Traitement, construit à Kaolack à cet effet depuis 2004, tout en confiant la gestion à l’ASSAMM, initiatrice et bénéficiaire, pour une résolution efficace de ce grave phénomène national.
Toutefois, cette histoire illustre encore le manque de sérieux du Ministre Awa Marie Coll SECK avec les malades mentaux dont elle n’hésite pas à jouer avec leurs souffrances comme ceux-là, y comprise cette vieille femme, qu’elle avait faits amener à l’inauguration, le 1er avril 2014, du centre de Kaolack pour faire croire aux populations que cette structure sert uniquement à la réinsertion sociale des malades mentaux stabilisés. Catastrophe ! Pour toutes ces raisons, nous demandons au Premier Ministre Monsieur Mouhamed DIONNE de bien vouloir prendre ses responsabilités pour exécuter les directives du Président Macky SALL, en convoquant un Conseil interministériel sur l’errance des malades mentaux à l’issu duquel, une Commission Nationale chargée de la gestion de ce vaste problème social dont la résolution nécessite obligatoirement l’implication de l’ensemble des acteurs concernés, devra être mise en place.
3- Quand je vois un malade mental errant,
je suis peiné et il me faut une audience avec le Président Macky SALL.
L’homme est-il le remède de l’homme au Sénégal ? En fait, je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi notre société tarde encore à venir en aide aux malades mentaux errants. Pourtant, notre tradition est formelle. Elle nous recommande d’être solidaires avec tout individu vivant dans des difficultés, pour mieux préserver la paix et la stabilité, gages de notre cohésion nationale. Justement, pour mettre fin à ce vaste phénomène social, seul un élan de solidarité agissante pourra nous permettre d’y parvenir tel que nous l’avions programmé depuis l’an 2000, un Centre existant déjà à kaolack, pour leur prise en charge médicale gratuite, leur facilitant un retour dans la société. C’est pourquoi, je souhaite rencontrer le Président Macky SALL, devenu maintenant un défenseur de cette frange vulnérable de notre population, pour que les solutions qui sont à notre disposition puissent être déroulées convenablement au grand bonheur des citoyens.
Aujourd’hui, avec cette nouvelle donne, je suis plus optimiste de voire un jour les conditions de vie des malades mentaux, d’ici et d’ailleurs, s’améliorer considérablement pour soulager les souffrances de millions de familles touchées par les troubles mentaux qui constituent de nos jours un lourd fardeau pour les communautés. Et, avec le Président Macky SALL, l’espoir est permis puisque l’une des choses qui manquait aux acteurs de la Santé Mentale et aux usagers, était d’avoir un dirigeant engagé, capable de porter le plaidoyer auprès des institutions internationales, pour une meilleure considération de la lutte contre ces genres de pathologies extrêmement graves et invalidantes, causant d’énormes difficultés aux populations. Même dans les grandes puissances, les personnes victimes de troubles mentaux et de toxicomanies vivent des calvaires indescriptibles à plus forte raison dans les pays en voie de développement, d’où la nécessité d’un véritable plaidoyer au niveau mondial.