"Les candidats devant subir l’épreuve de philosophie doivent savoir qu’aucune thématique n’est étrangère à la philosophie. Ainsi, ils doivent garder leur calme afin de réfléchir sur les véritables enjeux de la philosophie", a-t-il indiqué.
Le professeur Souleymane Bachir Diagne s’exprimait à l’occasion d’une conférence publique qu’il animait sur le thème ''La question de l'Universel". La rencontre a été conjointement organisée par l’Ecole doctorale études sur l’homme et la société (ETHOS) et la Faculté des sciences et technologies de l'éducation et de la formation (FASTEF, ex-ENS).
"Faire une épreuve de philosophie, ce n’est pas seulement assener ses opinions, mais mener une analyse scientifique, logique. Les élèves doivent comprendre que la réflexion philosophique qu’on leur apprend va de leur intérêt et doit avoir un impact positif durant toute leur vie", a estimé M. Diagne.
Selon lui, la philosophie n’est pas une science comme la physique, les mathématiques entres autres. "Elle doit nous servir à se faire un chemin dans la vie et à trouver parmi ces multiples choix qui se présentent à nous quel chemin prendre".
Il a dit quel revient cependant aux enseignants de philosophie de faire comprendre cette pensée aux élèves. "C’est à nous enseignants de rendre intéressant notre discipline et de faire comprendre aux élèves que la philosophie peut être d’un grand apport dans leur vie de tous les jours", a-t-il ajouté.
Logicien, spécialiste de l'histoire des sciences et de la philosophie islamique, Souleymane Bachir Diagne a longtemps enseigné au département de philosophie de l'université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar avant de s'expatrier aux Etats-Unis.
Il est actuellement professeur aux départements de français et de philosophie de l’université Columbia de New York (New York, États-Unis).
Le professeur Souleymane Bachir Diagne s’exprimait à l’occasion d’une conférence publique qu’il animait sur le thème ''La question de l'Universel". La rencontre a été conjointement organisée par l’Ecole doctorale études sur l’homme et la société (ETHOS) et la Faculté des sciences et technologies de l'éducation et de la formation (FASTEF, ex-ENS).
"Faire une épreuve de philosophie, ce n’est pas seulement assener ses opinions, mais mener une analyse scientifique, logique. Les élèves doivent comprendre que la réflexion philosophique qu’on leur apprend va de leur intérêt et doit avoir un impact positif durant toute leur vie", a estimé M. Diagne.
Selon lui, la philosophie n’est pas une science comme la physique, les mathématiques entres autres. "Elle doit nous servir à se faire un chemin dans la vie et à trouver parmi ces multiples choix qui se présentent à nous quel chemin prendre".
Il a dit quel revient cependant aux enseignants de philosophie de faire comprendre cette pensée aux élèves. "C’est à nous enseignants de rendre intéressant notre discipline et de faire comprendre aux élèves que la philosophie peut être d’un grand apport dans leur vie de tous les jours", a-t-il ajouté.
Logicien, spécialiste de l'histoire des sciences et de la philosophie islamique, Souleymane Bachir Diagne a longtemps enseigné au département de philosophie de l'université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar avant de s'expatrier aux Etats-Unis.
Il est actuellement professeur aux départements de français et de philosophie de l’université Columbia de New York (New York, États-Unis).