L’État du Sénégal, sous Abdoulaye Wade, a renoncé aux 10% des actions de Sococim. Cette décision, qui fait perdre des milliards annuellement au Sénégal, constitue une violation du Code minier puisque que le renoncement n’est pas prévu dans le texte. Cette faveur accordée à Sococim, en plus des trois conventions minières (Rufisque, Bandia et Pout) qui lui sont accordées en 2006, fausse aussi la concurrence puisque l’État tient bien ses parts (10%) dans le capital des autres cimenteries.
(Source : Libération)