On est mercredi 05 mars. K. D quitte comme d'habitude son école qui se trouve à Badiana pour rentrer au village de Djignako. Mais ce jour-là, elle est hélée en cours de route par trois gaillards qui la somment de les suivre dans la forêt.
Sentant un coup fourré, elle refuse de s’exécuter. Mais c’est sans compter avec ces trois individus encagoulés qui tenaient à se relayer sur elle. L’étau se resserre mais une solution ne manque pas. L’élève se met à crier comme si sa vie en dépendait. En réalité, sa vie en dépendait. Heureusement pour elle, renseigne l'As lu par Setal.net, ses cris de détresse ont été entendus par des passants qui sont venus à son secours.
Lorsqu’ils sont arrivés, elle était méconnaissable mais n’avait pas été abusée. Ses camarades du collège de Badiana ont marché pour dénoncer l’agression dont elle a été victime mais aussi pour réclamer le renforcement de la sécurité dans cette zone.
Sentant un coup fourré, elle refuse de s’exécuter. Mais c’est sans compter avec ces trois individus encagoulés qui tenaient à se relayer sur elle. L’étau se resserre mais une solution ne manque pas. L’élève se met à crier comme si sa vie en dépendait. En réalité, sa vie en dépendait. Heureusement pour elle, renseigne l'As lu par Setal.net, ses cris de détresse ont été entendus par des passants qui sont venus à son secours.
Lorsqu’ils sont arrivés, elle était méconnaissable mais n’avait pas été abusée. Ses camarades du collège de Badiana ont marché pour dénoncer l’agression dont elle a été victime mais aussi pour réclamer le renforcement de la sécurité dans cette zone.