Les faits ont eu lieu le 21 septembre dernier à l’Unité 13 des Parcelles Assainies, dans la banlieue de Dakar.
Une élève faisant du commerce pendant les grandes vacances est allée récupérer la somme de deux mille francs CFA, le prix d'une brosse à nettoyer qu’elle avait vendue la veille.
Elle dit avoir immédiatement pris la fuite, après qu'elle est entrée dans la chambre de l'acquéreur de la brosse, un commerçant âgé d'environ 46 ans, qui a précipitamment fermé la porte et la fenêtre de la pièce et enlevé son pantalon, selon sa version.
Trois jours après les faits, le commerçant est mis sous mandat de dépôt pour attentat à la pudeur avec violences. A la barre, il a catégoriquement nié la version donnée par l'élève. ''Je n’ai pas enlevé mon pantalon. Je venais de me réveiller, je n’avais que mon caftan.''
''Je n’avais pas encore pris un bain. Cette fille veut ternir ma réputation. Elle a tout inventé'', a déclaré le prévenu, un célibataire sans enfant.
La plaignante a déclaré : ''J’étais venue récupérer l’argent de la brosse que je lui ai vendue. J’ai pris la fuite dès qu’il a fermé la porte.'' ''Il ne m’a pas violenté et je n’ai pas vu son sexe'', a-t-elle répondu à l’avocat du prévenu.
La tante de la victime n’a pas réclamé des dommages et intérêts. ''Je pardonne au prévenu. Ses parents sont venus s’excuser'', a-t-elle expliqué.
Le procureur a requis l’application de la loi.
Les avocats de la défense ont plaidé la relaxe pure et simple de leur client. ''La fille a eu peur parce qu’elle croyait qu’elle allait être violée, mais il ne s'est rien passé. Elle a même pris la fuite'', a soutenu Me Samba Ametty.
''Elle a déclaré à la barre qu’elle n’a pas été victime d’attouchements et elle n’a pas vu les parties intimes du prévenu'', a fait valoir Me Ametty, pour obtenir l'acquittement de son client.
L’affaire est mise en délibéré au 10 octobre.
Une élève faisant du commerce pendant les grandes vacances est allée récupérer la somme de deux mille francs CFA, le prix d'une brosse à nettoyer qu’elle avait vendue la veille.
Elle dit avoir immédiatement pris la fuite, après qu'elle est entrée dans la chambre de l'acquéreur de la brosse, un commerçant âgé d'environ 46 ans, qui a précipitamment fermé la porte et la fenêtre de la pièce et enlevé son pantalon, selon sa version.
Trois jours après les faits, le commerçant est mis sous mandat de dépôt pour attentat à la pudeur avec violences. A la barre, il a catégoriquement nié la version donnée par l'élève. ''Je n’ai pas enlevé mon pantalon. Je venais de me réveiller, je n’avais que mon caftan.''
''Je n’avais pas encore pris un bain. Cette fille veut ternir ma réputation. Elle a tout inventé'', a déclaré le prévenu, un célibataire sans enfant.
La plaignante a déclaré : ''J’étais venue récupérer l’argent de la brosse que je lui ai vendue. J’ai pris la fuite dès qu’il a fermé la porte.'' ''Il ne m’a pas violenté et je n’ai pas vu son sexe'', a-t-elle répondu à l’avocat du prévenu.
La tante de la victime n’a pas réclamé des dommages et intérêts. ''Je pardonne au prévenu. Ses parents sont venus s’excuser'', a-t-elle expliqué.
Le procureur a requis l’application de la loi.
Les avocats de la défense ont plaidé la relaxe pure et simple de leur client. ''La fille a eu peur parce qu’elle croyait qu’elle allait être violée, mais il ne s'est rien passé. Elle a même pris la fuite'', a soutenu Me Samba Ametty.
''Elle a déclaré à la barre qu’elle n’a pas été victime d’attouchements et elle n’a pas vu les parties intimes du prévenu'', a fait valoir Me Ametty, pour obtenir l'acquittement de son client.
L’affaire est mise en délibéré au 10 octobre.