Le chef rebelle du (MFDC) Salif Sadio n’a jamais fait l’objet d’un mandat d’arrêt international. C’est en substance la révélation faite par des émissaires de l’Etat du Sénégal et des représentants du (MFDC) reçus par la communauté (Sant’Egidio) les 21 et 22 février en Italie, dans le cadre des négociations pour un retour définitif de la paix en Casamance.
De l’économie de cette entrevue entre les trois parties, sanctionnée par un communiqué rendu public à cet effet, les différentes parties ont indiqué « qu’aucun mandat d’arrêt n’a jamais été décerné contre Salif Sadio », contrairement à la décision prise à l’époque par l’ex chef de l’Etat Abdoulaye Wade. Tout ceci, note le communiqué, entre dans le cadre de la création d’une « confiance mutuelle » afin de permettre au chef rebelle, s’il y’a nécessité, de circuler librement a t-on lu dans l'Observateur.
A noter que sur le règne de Wade, le régime d’alors avait annoncé la mort de Salif Sadio. Quelques jours plus tard, le journaliste et spécialiste de la crise Casamançaise, Ibrahima Gassama avait accordé une interview au chef rebelle. Une chose qui vient bouleverser tout le plan établi pour nourrir cette thèse de la mort de Salif Sadio. Pire, le journaliste en question avait été arrêté à cette époque, et la radio pour laquelle il travaillait (Sud FM) perquisitionnée.
De l’économie de cette entrevue entre les trois parties, sanctionnée par un communiqué rendu public à cet effet, les différentes parties ont indiqué « qu’aucun mandat d’arrêt n’a jamais été décerné contre Salif Sadio », contrairement à la décision prise à l’époque par l’ex chef de l’Etat Abdoulaye Wade. Tout ceci, note le communiqué, entre dans le cadre de la création d’une « confiance mutuelle » afin de permettre au chef rebelle, s’il y’a nécessité, de circuler librement a t-on lu dans l'Observateur.
A noter que sur le règne de Wade, le régime d’alors avait annoncé la mort de Salif Sadio. Quelques jours plus tard, le journaliste et spécialiste de la crise Casamançaise, Ibrahima Gassama avait accordé une interview au chef rebelle. Une chose qui vient bouleverser tout le plan établi pour nourrir cette thèse de la mort de Salif Sadio. Pire, le journaliste en question avait été arrêté à cette époque, et la radio pour laquelle il travaillait (Sud FM) perquisitionnée.
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