‘’Les femmes commençaient à intégrer les Forces armées depuis 1984, avec les premières femmes officiers de l’Ecole militaire de santé. En 2006 aussi, la Gendarmerie a fait un saut qualitatif, avec l’intégration de personnel féminin en son sein. Depuis 2008, la généralisation est en marche, et nous pouvons atteindre cet objectif de 10 pour cent d’ici à 2022’’, a dit M. Tine.
Le ministre des Forces armées présidait mardi la cérémonie officielle de lancement de la Stratégie sectorielle genre de son département. Ont aussi prit part à la rencontre le Chef d’Etat-major général des Armées (CEMGA), le général de brigade Mamadou Sow, le Haut commandant de la Gendarmerie et Directeur de la justice militaire, la présidente de la Commission de défense et de sécurité de l’Assemblée Nationale, Aïda Mbodji, des représentants d’organisations internationales et d’autres partenaires.
‘’L’aspiration des femmes à intégrer les Forces armées est forte. Il y a une volonté exprimée et cet objectif devrait être atteint, puisque les bandes sont ouvertes. Les femmes constituent un effectif de trois pour cent dans l’Armée, alors que la généralisation date de 2008’’, a relevé Augustin Tine.
Selon lui, un dispositif est mis en place pour accompagner le personnel féminin dans les rangs de l’Armée. ‘’Il y a eu énormément de réflexions pour que ces femmes, qui intègrent les Forces armées, puissent travailler à égalité avec les hommes. Nous ferons tout pour que les conditions soient des meilleures pour elles’’, a assuré le ministre des Forces armées.
Retraçant l’historique de l’intégration des femmes dans l’Armée, Amadou Ousmane Bâ, chef de la Division des études et du contentieux au ministère des Forces armées, est longuement revenu sur la pertinence de la prise en compte de la dimension genre dans les effectifs militaires.
‘’La prise en compte du genre, dans les actions des Forces armées, constitue une valeur ajoutée aux objectifs de défense et de sécurité en termes d’efficience et d’efficacité stratégique et opérationnelle’’, a-t-il relevé, au cours d’un exposé sur la politique du genre initiée par le département des Forces armées.
Suffisant pour que les représentants d’organisations internationales soient tombés sous le charme de l’initiative sénégalaise.
‘’Même la Côte d’Ivoire est venue ici tout récemment pour s’inspirer du modèle sénégalais, qui reste un exemple dans la sous-région. La dame, qui a élaboré cette stratégie pour le ministère des Forces armées est une sénégalaise, qui est sollicitée un peu partout pour faire répandre le modèle sénégalais’’, a indiqué Bouréma Djadji, représentant du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), à Dakar.
Le ministre des Forces armées présidait mardi la cérémonie officielle de lancement de la Stratégie sectorielle genre de son département. Ont aussi prit part à la rencontre le Chef d’Etat-major général des Armées (CEMGA), le général de brigade Mamadou Sow, le Haut commandant de la Gendarmerie et Directeur de la justice militaire, la présidente de la Commission de défense et de sécurité de l’Assemblée Nationale, Aïda Mbodji, des représentants d’organisations internationales et d’autres partenaires.
‘’L’aspiration des femmes à intégrer les Forces armées est forte. Il y a une volonté exprimée et cet objectif devrait être atteint, puisque les bandes sont ouvertes. Les femmes constituent un effectif de trois pour cent dans l’Armée, alors que la généralisation date de 2008’’, a relevé Augustin Tine.
Selon lui, un dispositif est mis en place pour accompagner le personnel féminin dans les rangs de l’Armée. ‘’Il y a eu énormément de réflexions pour que ces femmes, qui intègrent les Forces armées, puissent travailler à égalité avec les hommes. Nous ferons tout pour que les conditions soient des meilleures pour elles’’, a assuré le ministre des Forces armées.
Retraçant l’historique de l’intégration des femmes dans l’Armée, Amadou Ousmane Bâ, chef de la Division des études et du contentieux au ministère des Forces armées, est longuement revenu sur la pertinence de la prise en compte de la dimension genre dans les effectifs militaires.
‘’La prise en compte du genre, dans les actions des Forces armées, constitue une valeur ajoutée aux objectifs de défense et de sécurité en termes d’efficience et d’efficacité stratégique et opérationnelle’’, a-t-il relevé, au cours d’un exposé sur la politique du genre initiée par le département des Forces armées.
Suffisant pour que les représentants d’organisations internationales soient tombés sous le charme de l’initiative sénégalaise.
‘’Même la Côte d’Ivoire est venue ici tout récemment pour s’inspirer du modèle sénégalais, qui reste un exemple dans la sous-région. La dame, qui a élaboré cette stratégie pour le ministère des Forces armées est une sénégalaise, qui est sollicitée un peu partout pour faire répandre le modèle sénégalais’’, a indiqué Bouréma Djadji, représentant du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), à Dakar.