Le ministre de l'intérieur invite "les esprits retords" à se calmer dans ce dossier empoisonnement. "Plus de conjectures tendancieuses sur le dossier" a dit Benoit Assouan Dègla ce 26 octobre. "Il faut respecter le secret de l'instruction judiciaire" a-t-il ajouté.
On se rappelle que lors de son point de presse du lundi, le Procureur de la République a constamment cité Patrice Talon comme le présumé commanditaire de cette tentative d’empoisonnement raté du Chef de l’Etat. C’est lui qui, selon ses dires, aurait contacté Zoubérath Kora, la nièce du Chef de l’Etat, le docteur Ibrahim Cissé, son médecin personnel et Moudjaïdou Soumanou. Au cours de leurs dépositions, ces trois complices auraient avoué avoir été contactés par Patrice Talon pour commettre ce crime. Il était donc important de l’écouter en tant que présumé commanditaire. C’est pourquoi deux mandats d’arrêts internationaux ont été lancés contre ce dernier et son compère Olivier Boko.
Depuis quelques semaines, Patrice Talon ne vit plus au Bénin. Il serait refugié dans un pays voisin et voyagerait souvent entre ce pays et la France. Idem pour Olivier Boko, son associé et compagnon que le président Boni Yayi a présenté lors de son interview du 1er Août comme l’homme qui finance la presse pour l’attaquer.
Source: Koaci.com
On se rappelle que lors de son point de presse du lundi, le Procureur de la République a constamment cité Patrice Talon comme le présumé commanditaire de cette tentative d’empoisonnement raté du Chef de l’Etat. C’est lui qui, selon ses dires, aurait contacté Zoubérath Kora, la nièce du Chef de l’Etat, le docteur Ibrahim Cissé, son médecin personnel et Moudjaïdou Soumanou. Au cours de leurs dépositions, ces trois complices auraient avoué avoir été contactés par Patrice Talon pour commettre ce crime. Il était donc important de l’écouter en tant que présumé commanditaire. C’est pourquoi deux mandats d’arrêts internationaux ont été lancés contre ce dernier et son compère Olivier Boko.
Depuis quelques semaines, Patrice Talon ne vit plus au Bénin. Il serait refugié dans un pays voisin et voyagerait souvent entre ce pays et la France. Idem pour Olivier Boko, son associé et compagnon que le président Boni Yayi a présenté lors de son interview du 1er Août comme l’homme qui finance la presse pour l’attaquer.
Source: Koaci.com