« D’abord le constat est gênant. Et bien entendu, l’analyse risque d’être pénible et plus désolante », prévient d’emblée l’analyste politique qui tient à faire la part des choses. Selon lui, les diplomates ne sont pas n’importe qui. Par conséquent, ils méritent les égards dus à leur rang. « Les diplomates ne sont pas des dockers ; ils appartiennent à une corporation raffinée, courtoise et cultivée. Alors si de telles personnes en arrivent à hurler de colère, c’est certainement parce que globalement le vase…des pratiques non orthodoxes a débordé, comme l’indique le communiqué conjointement signé par les Conseillers et les chanceliers », soutient-il dans les colonnes de Libération lu par Setal.net.
Babacar Justin Ndiaye indique, en tout cas en se basant sur ce qu’il sait de l’histoire de la diplomatie sénégalaise, qu’une telle secousse n’a été notée que sous le magistère de Macky Sall. « N’étant pas un historien de notre appareil diplomatique, je me limiterai à vous dire que le livre mémoire publié par le Professeur Assane Seck, ancien ministre des Affaires étrangères, tout comme les ouvrages des ambassadeurs Fallilou Kane et Saliou Kandé, n’ont point fait état d’un tel précédent. Même si tout n’a pas toujours baigné dans l’huile au ministère des Affaires étrangères », dit-il.
Babacar Justin Ndiaye indique, en tout cas en se basant sur ce qu’il sait de l’histoire de la diplomatie sénégalaise, qu’une telle secousse n’a été notée que sous le magistère de Macky Sall. « N’étant pas un historien de notre appareil diplomatique, je me limiterai à vous dire que le livre mémoire publié par le Professeur Assane Seck, ancien ministre des Affaires étrangères, tout comme les ouvrages des ambassadeurs Fallilou Kane et Saliou Kandé, n’ont point fait état d’un tel précédent. Même si tout n’a pas toujours baigné dans l’huile au ministère des Affaires étrangères », dit-il.