‘’Pour ce problème précis, mon ami s’est trompé. Il n’a jamais été et n’en sera jamais question, ni à la commission centrale des arbitres, ni à la Confédération africaine de football (CAF) ou à la FIFA, de télécommander un résultat en fonction de l’option d’une nation ou d’un homme'', a déclaré l’arbitre international à la retraite, dans un entretien publié par le quotidien L'Observateur.
Selon M. Sène, membre de la Commission d'arbitrage de la CAF et de la FIFA, ‘’notre culture et notre déontologie ne nous permettent jamais d’interférer ou d’avoir une telle idée’’ avant d’ajouter que ‘’c’est dangereux pour un responsable de son niveau, de penser à de telles possibilités’’.
Pour celui qui a arbitré la finale de la CAN 1992 ayant opposé la Côte d’Ivoire au Ghana, ‘’il peut arriver qu’au cours d’un match, un arbitre se trompe, c’est une œuvre humaine, qui comportera toujours des erreurs’’.
Badara Mamaya Sène a qualifié la sortie de Louis Lamotte ‘’d’accusations graves à l’encontre de la Confédération africaine de football et de la FIFA’’, indiquant qu'il est impossible qu’un pays soit sanctionné pour avoir refusé de voter une motion de soutien.
Le vice-président de la Fédération sénégalaise de football (FSF) craint que c’est le refus du Sénégal de voter une motion de soutien en faveur d’une candidature du président sortant, Issa Hayatou, à sa propre succession, qui serait la cause des ennuis des Lions.
Pour M. Sène, il n’en est rien puisque ‘’47 pays de l’Afrique ont déjà signé’’ cette motion de soutien. Il a ajouté qu’au vu des rapports du Commissaire du match et de l’inspecteur des arbitres, Mohamed Benouza ‘’a fait dans l’ensemble un bon arbitrage’’.
‘’Il peut arriver qu’en cours de partie, bien qu’ayant fait un bon arbitrage, il puisse se tromper’’, a-t-il dit, ajoutant qu’au sujet du penalty contesté par les officiels sénégalais, ''la faute a été commise à l’intérieur de la surface de réparation. Donc il ne peut y avoir que penalty''.
APS
Selon M. Sène, membre de la Commission d'arbitrage de la CAF et de la FIFA, ‘’notre culture et notre déontologie ne nous permettent jamais d’interférer ou d’avoir une telle idée’’ avant d’ajouter que ‘’c’est dangereux pour un responsable de son niveau, de penser à de telles possibilités’’.
Pour celui qui a arbitré la finale de la CAN 1992 ayant opposé la Côte d’Ivoire au Ghana, ‘’il peut arriver qu’au cours d’un match, un arbitre se trompe, c’est une œuvre humaine, qui comportera toujours des erreurs’’.
Badara Mamaya Sène a qualifié la sortie de Louis Lamotte ‘’d’accusations graves à l’encontre de la Confédération africaine de football et de la FIFA’’, indiquant qu'il est impossible qu’un pays soit sanctionné pour avoir refusé de voter une motion de soutien.
Le vice-président de la Fédération sénégalaise de football (FSF) craint que c’est le refus du Sénégal de voter une motion de soutien en faveur d’une candidature du président sortant, Issa Hayatou, à sa propre succession, qui serait la cause des ennuis des Lions.
Pour M. Sène, il n’en est rien puisque ‘’47 pays de l’Afrique ont déjà signé’’ cette motion de soutien. Il a ajouté qu’au vu des rapports du Commissaire du match et de l’inspecteur des arbitres, Mohamed Benouza ‘’a fait dans l’ensemble un bon arbitrage’’.
‘’Il peut arriver qu’en cours de partie, bien qu’ayant fait un bon arbitrage, il puisse se tromper’’, a-t-il dit, ajoutant qu’au sujet du penalty contesté par les officiels sénégalais, ''la faute a été commise à l’intérieur de la surface de réparation. Donc il ne peut y avoir que penalty''.
APS