ujourd’hui, il faut faire des efforts pour aider l’administration pénitentiaire. Au passage, je salue tous mes amis de Rebeuss (Dakar) surtout ceux de la chambre 42, 43 avec qui j’ai partagé la même cour’’, a-t-il dit à l’émission dominicale Grand-Jury de la radio privée RFM.
M. Dias a été sorti de prison, mardi, après une détention préventive de cinq mois, dans le cadre de l’enquête sur la mort de Ndiaga Diouf, un des nervis qui avaient attaqué sa mairie en fin décembre dernier.
‘’Je dois dire à la décharge de l’administration pénitentiaire que, c’est très difficile la prison. Parce que, malheureusement l’administration pénitentiaire n’a pas les moyens de faire correctement son travail’’, a-t-il plaidé.
Le leader du Mouvement national des jeunes du Parti socialiste (PS) a estimé que les militants des droits de l’homme devaient comprendre que ‘’la politique appartient à tout le monde, mais qu’il faut s’occuper de la prison de Rebeuss’’.
‘’Il y a des situations à Rebeuss qui ne peuvent pas être expliqués (…) incompréhensibles. Quand on prend 200 personnes, on les entasse dans une cellule de 50 mètres carrés. Là, ce n’est plus une histoire de droits de l’homme, ça devient inhumain’’, a-t-il déploré.
Barthélémy Dias a été interpellé et incarcéré à Rebeuss après la mort de Ndiaga Diouf, suite à un échange de tirs entre le jeune maire et un groupe d’assaillants contre sa mairie. Mais, le politicien a nié la responsabilité de cette mort.
Cependant, le maire socialiste de la commune d’arrondissement de Sicap-Mermoz a renouvelé ses condoléances à la famille de Ndiaga Diouf, dont il a regretté la mort ainsi que l’incident qui l’a précédée.
‘’J’espère que sa famille acceptera mes condoléances. Je ne peux pas dire plus que ça. Cette situation est regrettable’’, a-t-il souligné, avant d’enchaîner sur la gestion des proches de l’ancien président Abdoulaye Wade.
Barthélémy Dias a demandé la poursuite des auteurs de mauvaise gestion, tout en souhaitant aussi la libération des militants de l’ancienne opposition sont en prison après avoir été arrêtés à l’occasion de manifestations contre l’ex-régime.
Avec APS
M. Dias a été sorti de prison, mardi, après une détention préventive de cinq mois, dans le cadre de l’enquête sur la mort de Ndiaga Diouf, un des nervis qui avaient attaqué sa mairie en fin décembre dernier.
‘’Je dois dire à la décharge de l’administration pénitentiaire que, c’est très difficile la prison. Parce que, malheureusement l’administration pénitentiaire n’a pas les moyens de faire correctement son travail’’, a-t-il plaidé.
Le leader du Mouvement national des jeunes du Parti socialiste (PS) a estimé que les militants des droits de l’homme devaient comprendre que ‘’la politique appartient à tout le monde, mais qu’il faut s’occuper de la prison de Rebeuss’’.
‘’Il y a des situations à Rebeuss qui ne peuvent pas être expliqués (…) incompréhensibles. Quand on prend 200 personnes, on les entasse dans une cellule de 50 mètres carrés. Là, ce n’est plus une histoire de droits de l’homme, ça devient inhumain’’, a-t-il déploré.
Barthélémy Dias a été interpellé et incarcéré à Rebeuss après la mort de Ndiaga Diouf, suite à un échange de tirs entre le jeune maire et un groupe d’assaillants contre sa mairie. Mais, le politicien a nié la responsabilité de cette mort.
Cependant, le maire socialiste de la commune d’arrondissement de Sicap-Mermoz a renouvelé ses condoléances à la famille de Ndiaga Diouf, dont il a regretté la mort ainsi que l’incident qui l’a précédée.
‘’J’espère que sa famille acceptera mes condoléances. Je ne peux pas dire plus que ça. Cette situation est regrettable’’, a-t-il souligné, avant d’enchaîner sur la gestion des proches de l’ancien président Abdoulaye Wade.
Barthélémy Dias a demandé la poursuite des auteurs de mauvaise gestion, tout en souhaitant aussi la libération des militants de l’ancienne opposition sont en prison après avoir été arrêtés à l’occasion de manifestations contre l’ex-régime.
Avec APS
Maguette Sène : «Je n’ai pas démissionné de l’Apr»
