C’est au moins 120 danseurs issus des quatre coins du Sénégal oriental qui ont participé au stage de break dance déroulé par le Réseau régional des cultures urbaines avec l’appui du centre culturel de Tambacounda. Ce stage offert par l’Association Kaay Fecc est exécuté en prélude à la tenue, en 2017, de la 12éme édition du championnat national de Battle de danse hip hop pour laquelle Tambacounda a postulé en qualité de ville organisatrice.
La session de formation d’une durée de plus d’une semaine a été animée par M. Abdallah, professeur de danse. Elle avait un double objectif : perfectionner les prestations corporelles des danseurs et leur délivrer des attestations de participation explique M. Ibrahima Cissokho, président du réseau des cultures urbaines de Tambacounda(Recut). « Cette initiative de l’association Kaay Fecc est venue à point nommé » se réjouit-il d’autant plus que ce sont les régions qui bénéficient de stage qui sortent toujours finalistes des précédents championnats.
Par contre, le Président du Recut se désole de l’absence du pouvoir décentralisé à qui il demande d’ailleurs de s’intéresser davantage aux cultures urbaines.
« Les élus locaux doivent songer à accompagner les cultures urbaines en les intégrant dans leur agenda et en nous mettant en rapport avec leurs partenaires culturels. Pourtant ce sont les acteurs des cultures urbaines qui tiennent durant toute l’année des activités de loisirs et de sensibilisation en plus de s’acquitter du payement des taxes au niveau de la mairie et des services du trésor » a fait savoir M. Cissokho. Il appelle les tambacoundois à venir soutenir le Recut au cas où la candidature de Tambacounda sera retenue.
Au sortir de ce premier stage, en attendant le second au mois de février 2017, ce sont les groupes Juste Debout et Break Terre unis sous l’appellation Oriental Dance qui ont été choisis pour représenter la région au championnat national de Battle prévu en mars 2017.
Amédine FAYE
La session de formation d’une durée de plus d’une semaine a été animée par M. Abdallah, professeur de danse. Elle avait un double objectif : perfectionner les prestations corporelles des danseurs et leur délivrer des attestations de participation explique M. Ibrahima Cissokho, président du réseau des cultures urbaines de Tambacounda(Recut). « Cette initiative de l’association Kaay Fecc est venue à point nommé » se réjouit-il d’autant plus que ce sont les régions qui bénéficient de stage qui sortent toujours finalistes des précédents championnats.
Par contre, le Président du Recut se désole de l’absence du pouvoir décentralisé à qui il demande d’ailleurs de s’intéresser davantage aux cultures urbaines.
« Les élus locaux doivent songer à accompagner les cultures urbaines en les intégrant dans leur agenda et en nous mettant en rapport avec leurs partenaires culturels. Pourtant ce sont les acteurs des cultures urbaines qui tiennent durant toute l’année des activités de loisirs et de sensibilisation en plus de s’acquitter du payement des taxes au niveau de la mairie et des services du trésor » a fait savoir M. Cissokho. Il appelle les tambacoundois à venir soutenir le Recut au cas où la candidature de Tambacounda sera retenue.
Au sortir de ce premier stage, en attendant le second au mois de février 2017, ce sont les groupes Juste Debout et Break Terre unis sous l’appellation Oriental Dance qui ont été choisis pour représenter la région au championnat national de Battle prévu en mars 2017.
Amédine FAYE