Créé dans la clandestinité, le ramassis de groupements hétéroclites aux dissonances politiques conflictuelles n’arrive toujours pas à retrouver la voie de la rupture tant martelée lors des assises nationales, devenues de nos jours une serpillère soigneusement plongée dans les abimes de l’oubli. Pour appâter et embarquer l’opinion, ces vendeurs de rêve se sont amusés des années durant à dénigrer pour dénigrer comme des coqs de combat les orientations économiques de l’homme le plus diplômé du Caire au Cap.
Contrairement au président Wade dont les réalisations sautent à l’œil nu, ces défaillants, au lieu de passer à l’action, continuent de nous brandir de façon hasardeuse des discours illusionnistes à n’en plus finir et des promesses dont les lendemains ne chanteront jamais. Mieux l’inefficience de leurs politiques irrationnelles, a considérablement généralisé la paupérisation des masses silencieuses.
Face à cette situation de crise sociale aigüe où les cris de détresse fusent de partout, nos braves compatriotes, désespérés et contraints à la débrouillardise, s’attendaient à ce que la coalition Benno Tass Yakkar ait comme en 2009 une unicité de candidature sur l’ensemble des circonscriptions électorales pour apporter des solutions appropriées à l’ensemble des problèmes auxquels ils sont quotidiennement confrontés.
Malheureusement, leurs mandataires insensibles à leurs souffrances ont trahi les principes et valeurs, pour lesquels ils avaient bénéficié de leurs confiances aveugles en 2012. S’ils étaient les défenseurs absolus de la patrie comme ils se le réclament à tout bout de champ, les dignitaires de ce régime honni allaient accorder la primauté non pas à leurs appartenances politiques respectives mais plus tôt au bien-être du peuple, en déclinant une offre politique commune.
L’incohérence des actes posés par ces opportunistes démontre suffisamment que la coquille vide Benno Tass Yakkar n’est rien d’autre qu’une malhonnête supercherie conçue pour induire expressément l’électorat en erreur. Dans les faits, leurs agissements ne cadrent pas avec les déclamations de leurs parasites qui croient pouvoir sempiternellement bluffer les sénégalais en créant des coalitions dérivées tels que Taxawu Ndakaaru pour accroitre leurs parts de marchés électoraux.
Les socialistes, politiquement insignifiants dans leurs localités respectives, veulent se servir de cette couverture pour se départir de l’impuissance de cette gouvernance dans laquelle ils disposent un quota de 5 ministres. Ces calculs politiques de bas étage qui consistent à diversifier les listes électorales pour attirer le plus grand nombre d’électeurs possibles ne fonctionnera pas puisque les sénégalais ne laisseront pas ces manipulateurs berner leurs intimes convictions.
Le gouvernement a compris que l’offre périmée de la coalition Benno Tass Yakkar, malgré la virtualité de ses réalisations abstraites, ne fera pas bonne recette cette fois-ci auprès des patriotes sénégalais. Ainsi, l’ultime solution pour ce système en déclin revient à recourir à la technique de la diversification pour faire passer le même produit électoral à Dakar sous l’étiquette d’une autre couverture dénommée Taxawu Ndakaaru. Rien d’étonnant puisque ces incapables socialistes, avec à leurs têtes Khalifa Sall, qui ont brillé pendant 40 ans dans la médiocrité pensent pouvoir continuellement amadouer les sénégalais.
Il y a lieu de relever que l’homme à la voix efféminée s’est révolté non pas pour l’amélioration du bien-être des braves résidants de Grand Yoff mais pour conserver son fauteuil et pour préserver les privilèges dont il jouit avec sa famille. En vérité, ces démarches mercantiles sont à l’origine de toutes les querelles intestines notées au sein de l’alliance présidentielle, qui a fini par se disloquer en raison de ces intérêts égoïstes. Cette union de façade en cédant le pas aux opportunités d’enrichissements personnels a fini par se perdre dans ses propres contradictions.
Les fissures constatées sont aussi le reflet de la voracité maladive de la famille politique et biologique de Macky Sall qui, comme du temps des seigneurs, refuse de se conformer aux exigences légitimes de ses alliés. L’appareil de placement familial qu’est devenu l’APR, en s’accordant l’illusion d’une prépondérance électorale dont il ne dispose pas, a voulu se servir des alliés grâce à qui il est arrivé au pouvoir pour faire élire l’entourage immédiat de Michelin, placé aux postes stratégiques des différentes listes.
La soif du pouvoir a poussé la dynastie Faye-Sall-Gassama-Thimbo, à croire qu’eux seuls doivent tirer profit de toutes les juteuses mairies, rejetant de fait toute opinion objective n'abondant pas dans le sens de leurs ambitions irréalistes. Ces lancinants problèmes d’ego ont d’autre part poussé les membres de la mouvance présidentielle à se soustraire de cette entente car ils savent que les sénégalais ne soutiendront jamais un système clanique et familial qui entretient l’usurpation illicite des ressources nationales.
Cette caste de pouvoiristes a beau se vautrer dans l’opulence en distribuant à tour de bras de pauvres billets de banques, mais elle ne pourra pas empêcher Macky Sall de perdre, au soir du 29 juin 2014, la légitimité électorale, la seule renommée qui lui reste. Le compte à rebours de sa démission sera alors lancé et il lui sera impossible de contenir toute la grappe humaine qui s’agglutinera devant les grilles du palais de la république pour exiger son imminent départ. Démission qui sera hâtée par la perte prématurée des deux piliers qui sous-tendent tout pouvoir : la légitimité populaire et électorale.
Eternel Wadiste
Moïse RAMPINO
Contrairement au président Wade dont les réalisations sautent à l’œil nu, ces défaillants, au lieu de passer à l’action, continuent de nous brandir de façon hasardeuse des discours illusionnistes à n’en plus finir et des promesses dont les lendemains ne chanteront jamais. Mieux l’inefficience de leurs politiques irrationnelles, a considérablement généralisé la paupérisation des masses silencieuses.
Face à cette situation de crise sociale aigüe où les cris de détresse fusent de partout, nos braves compatriotes, désespérés et contraints à la débrouillardise, s’attendaient à ce que la coalition Benno Tass Yakkar ait comme en 2009 une unicité de candidature sur l’ensemble des circonscriptions électorales pour apporter des solutions appropriées à l’ensemble des problèmes auxquels ils sont quotidiennement confrontés.
Malheureusement, leurs mandataires insensibles à leurs souffrances ont trahi les principes et valeurs, pour lesquels ils avaient bénéficié de leurs confiances aveugles en 2012. S’ils étaient les défenseurs absolus de la patrie comme ils se le réclament à tout bout de champ, les dignitaires de ce régime honni allaient accorder la primauté non pas à leurs appartenances politiques respectives mais plus tôt au bien-être du peuple, en déclinant une offre politique commune.
L’incohérence des actes posés par ces opportunistes démontre suffisamment que la coquille vide Benno Tass Yakkar n’est rien d’autre qu’une malhonnête supercherie conçue pour induire expressément l’électorat en erreur. Dans les faits, leurs agissements ne cadrent pas avec les déclamations de leurs parasites qui croient pouvoir sempiternellement bluffer les sénégalais en créant des coalitions dérivées tels que Taxawu Ndakaaru pour accroitre leurs parts de marchés électoraux.
Les socialistes, politiquement insignifiants dans leurs localités respectives, veulent se servir de cette couverture pour se départir de l’impuissance de cette gouvernance dans laquelle ils disposent un quota de 5 ministres. Ces calculs politiques de bas étage qui consistent à diversifier les listes électorales pour attirer le plus grand nombre d’électeurs possibles ne fonctionnera pas puisque les sénégalais ne laisseront pas ces manipulateurs berner leurs intimes convictions.
Le gouvernement a compris que l’offre périmée de la coalition Benno Tass Yakkar, malgré la virtualité de ses réalisations abstraites, ne fera pas bonne recette cette fois-ci auprès des patriotes sénégalais. Ainsi, l’ultime solution pour ce système en déclin revient à recourir à la technique de la diversification pour faire passer le même produit électoral à Dakar sous l’étiquette d’une autre couverture dénommée Taxawu Ndakaaru. Rien d’étonnant puisque ces incapables socialistes, avec à leurs têtes Khalifa Sall, qui ont brillé pendant 40 ans dans la médiocrité pensent pouvoir continuellement amadouer les sénégalais.
Il y a lieu de relever que l’homme à la voix efféminée s’est révolté non pas pour l’amélioration du bien-être des braves résidants de Grand Yoff mais pour conserver son fauteuil et pour préserver les privilèges dont il jouit avec sa famille. En vérité, ces démarches mercantiles sont à l’origine de toutes les querelles intestines notées au sein de l’alliance présidentielle, qui a fini par se disloquer en raison de ces intérêts égoïstes. Cette union de façade en cédant le pas aux opportunités d’enrichissements personnels a fini par se perdre dans ses propres contradictions.
Les fissures constatées sont aussi le reflet de la voracité maladive de la famille politique et biologique de Macky Sall qui, comme du temps des seigneurs, refuse de se conformer aux exigences légitimes de ses alliés. L’appareil de placement familial qu’est devenu l’APR, en s’accordant l’illusion d’une prépondérance électorale dont il ne dispose pas, a voulu se servir des alliés grâce à qui il est arrivé au pouvoir pour faire élire l’entourage immédiat de Michelin, placé aux postes stratégiques des différentes listes.
La soif du pouvoir a poussé la dynastie Faye-Sall-Gassama-Thimbo, à croire qu’eux seuls doivent tirer profit de toutes les juteuses mairies, rejetant de fait toute opinion objective n'abondant pas dans le sens de leurs ambitions irréalistes. Ces lancinants problèmes d’ego ont d’autre part poussé les membres de la mouvance présidentielle à se soustraire de cette entente car ils savent que les sénégalais ne soutiendront jamais un système clanique et familial qui entretient l’usurpation illicite des ressources nationales.
Cette caste de pouvoiristes a beau se vautrer dans l’opulence en distribuant à tour de bras de pauvres billets de banques, mais elle ne pourra pas empêcher Macky Sall de perdre, au soir du 29 juin 2014, la légitimité électorale, la seule renommée qui lui reste. Le compte à rebours de sa démission sera alors lancé et il lui sera impossible de contenir toute la grappe humaine qui s’agglutinera devant les grilles du palais de la république pour exiger son imminent départ. Démission qui sera hâtée par la perte prématurée des deux piliers qui sous-tendent tout pouvoir : la légitimité populaire et électorale.
Eternel Wadiste
Moïse RAMPINO