Le 9 février dernier, le plaignant, avait déposé une plainte contre sa femme pour bigamie. Dans le dossier déposé au tribunal de Louga, A. Sow revient en détail sur les faits.
« Le 09 février 2016, F. Sow, père de son épouse est venu à l’improviste chez moi, sans même avoir la courtoisie de me saluer. Il est directement allé vers sa fille en lui intimidant l’ordre de quitter, séance tenante, le domicile conjugal, faute de quoi, elle serait égorgée comme un mouton. (..) quelques jours plus tard, mon beau-père m’a annoncé, lui-même, qu’il a redonné en mariage D Sow, à un autre homme, alors qu’elle est toujours ma femme »,raconte le plaignant.
Pour en avoir le cœur net, le dossier a été confié aux hommes du commissariat urbain de Louga. Lors des confrontations, la mise en cause et son père ont nié, en chargeant même son mari de lui rendre la vie trop dure.
Après le bouclage de l’enquête, le dossier a été enrôlé et devait être jugé hier. Mais à cause de l’absence de la femme incriminée, le procès a été renvoyé sous huitaine, informe L’Observateur.
« Le 09 février 2016, F. Sow, père de son épouse est venu à l’improviste chez moi, sans même avoir la courtoisie de me saluer. Il est directement allé vers sa fille en lui intimidant l’ordre de quitter, séance tenante, le domicile conjugal, faute de quoi, elle serait égorgée comme un mouton. (..) quelques jours plus tard, mon beau-père m’a annoncé, lui-même, qu’il a redonné en mariage D Sow, à un autre homme, alors qu’elle est toujours ma femme »,raconte le plaignant.
Pour en avoir le cœur net, le dossier a été confié aux hommes du commissariat urbain de Louga. Lors des confrontations, la mise en cause et son père ont nié, en chargeant même son mari de lui rendre la vie trop dure.
Après le bouclage de l’enquête, le dossier a été enrôlé et devait être jugé hier. Mais à cause de l’absence de la femme incriminée, le procès a été renvoyé sous huitaine, informe L’Observateur.