C'est à un bras de fer auquel on assite à Vélingara (région de Kolda) entre les enseignants d'un côté et l'IEF, M. Amadou L. Wade. En effet, dans la période du 19 Mars au 23 Avril 2019 des enseignants candidats au CAP au nombre de 23, auraient été vus en pratique de l'examen par une commission composée d'un inspecteur, d'un directeur et d'un adjoint. Mais contre tout attente, l'IEF chef de circonscription envisage de ne pas valider ces PV. L'intersyndicale locale entama alors des négociations pour apaiser la situation, en vain.
Selon Pape Aly Sané, SG du SELS Vélingara, "on a eu une rencontre avec une délégation de ces camarades pour avoir leur version des faits, mais j'avoue que j'ai eu de la honte et du dégoût quand j'ai écouté ces jeunes collègues victimes qui avec amertume et colère nous font savoir qu'il est hors de question de reprendre cet examen." Et d'ajouter : "pour réclamer la validation de ces PV, nous syndicalistes décrétons 48 h de grève lundi 27 et Mardi 28 Mai 2019 ." a t-il fait savoir.
Interpellé sur les accusations dont il fait objet, l'IEF de Vélingara, a réagi par une déclaration rendue publique. En effet, l’Inspecteur de l’Éducation et de la Formation de Vélingara, M. Amadou Lamine Wade, a tenu à préciser aux enseignants et à l’opinion qu’il n’a programmé ou effectué durant la période du 19 mars au 26 avril 2019 aucun examen professionnel mais des compositions, des séances d’encadrement, etc.. Toujours selon lui, "envoyer par moto des commissions d’examen composées de « boys » de l’inspecteur-président et/ou de copains du candidat, les jours fériés ou non ouvrables, comme le samedi 23 mars ou le lundi de pâques ou envoyer un inspecteur "démarché" par des candidats d’une zone qui le déplacent, l’hébergent, le nourrissent, jouent avec lui au football chaque soir, pendant plusieurs jours en se cotisant ou en quémandant des ressources illégalement au nom de l’IEF , ne sont pas des pratiques de l’IEF de Vélingara."
Ainsi, tient-il lui aussi á préciser que "L’IEF n’est mêlé ni de près ou de loin à ces examens et ne s’en mêlera pas. Il n’a pas à valider ou à invalider des PV. La dévalorisation du prestigieux diplôme de CAP ne passera jamais par lui." La question qu'on est en droit de se poser est de savoir, comment un inspecteur de l'éducation, officiant dans une circonscription, peut-il voir á la pratique d'un examen 23 candidats sans que l'IEF chef de circonscription n'en soit informé? Comment en est-on arrivé á cette situation? En tout cas on file droit vers un paralysie totale du système éducatif dans cette partie du pays, á trois semaines du CFEE et de l'entrée en 6e.
Selon Pape Aly Sané, SG du SELS Vélingara, "on a eu une rencontre avec une délégation de ces camarades pour avoir leur version des faits, mais j'avoue que j'ai eu de la honte et du dégoût quand j'ai écouté ces jeunes collègues victimes qui avec amertume et colère nous font savoir qu'il est hors de question de reprendre cet examen." Et d'ajouter : "pour réclamer la validation de ces PV, nous syndicalistes décrétons 48 h de grève lundi 27 et Mardi 28 Mai 2019 ." a t-il fait savoir.
Interpellé sur les accusations dont il fait objet, l'IEF de Vélingara, a réagi par une déclaration rendue publique. En effet, l’Inspecteur de l’Éducation et de la Formation de Vélingara, M. Amadou Lamine Wade, a tenu à préciser aux enseignants et à l’opinion qu’il n’a programmé ou effectué durant la période du 19 mars au 26 avril 2019 aucun examen professionnel mais des compositions, des séances d’encadrement, etc.. Toujours selon lui, "envoyer par moto des commissions d’examen composées de « boys » de l’inspecteur-président et/ou de copains du candidat, les jours fériés ou non ouvrables, comme le samedi 23 mars ou le lundi de pâques ou envoyer un inspecteur "démarché" par des candidats d’une zone qui le déplacent, l’hébergent, le nourrissent, jouent avec lui au football chaque soir, pendant plusieurs jours en se cotisant ou en quémandant des ressources illégalement au nom de l’IEF , ne sont pas des pratiques de l’IEF de Vélingara."
Ainsi, tient-il lui aussi á préciser que "L’IEF n’est mêlé ni de près ou de loin à ces examens et ne s’en mêlera pas. Il n’a pas à valider ou à invalider des PV. La dévalorisation du prestigieux diplôme de CAP ne passera jamais par lui." La question qu'on est en droit de se poser est de savoir, comment un inspecteur de l'éducation, officiant dans une circonscription, peut-il voir á la pratique d'un examen 23 candidats sans que l'IEF chef de circonscription n'en soit informé? Comment en est-on arrivé á cette situation? En tout cas on file droit vers un paralysie totale du système éducatif dans cette partie du pays, á trois semaines du CFEE et de l'entrée en 6e.