Coup de théâtre à l’Assemblée nationale ce lundi. Les députés qui étaient convoqués pour procéder à la ratification des 11 commissions permanentes ont dû rentrer chez eux. D’ailleurs, les députés de l’opposition et les non-inscrits ont dû bouder la séance après plusieurs heures d’attente. Convoqués à dix heures, les députés de l’opposition ont attendu jusqu’à 15 heures sans voir leurs collègues de la majorité qui étaient en concertation.
Ce blocage en a donc étonné plus d’un. D’autant que la coalition «Bennoo Bokk Yakaar» s’était déjà entendu sur les différentes personnes qui devaient occuper les postes de présidents de commissions. En vérité, selon des sources ayant pris part à la réunion des députés du groupe de la majorité, le blocage est à chercher dans la composition même des dix commissions qui revenaient à «Bennoo bokk Yakaar». La onzième étant dirigée par Aïda Mbodj du Parti démocratique sénégalais (Pds).
Au cours de cette rencontre, des députés ont fait part de leur préférence pour telle ou telle autre commission. Ainsi, certaines commissions se sont retrouvées en sureffectif alors que d’autres n’en avaient pas assez. Ors, aucun député ne peut être membre de plus de trois commissions. «Il a fallu donc faire des arbitrages, enlever des noms et les mettre dans d’autres commissions», renseigne notre source qui relève que certains députés n’ont pas hésité à manifester leur désapprobation. C’est donc ce qui a fait que la réunion a pris du temps, bloquant ainsi la suite des travaux en plénière.
Ce blocage en a donc étonné plus d’un. D’autant que la coalition «Bennoo Bokk Yakaar» s’était déjà entendu sur les différentes personnes qui devaient occuper les postes de présidents de commissions. En vérité, selon des sources ayant pris part à la réunion des députés du groupe de la majorité, le blocage est à chercher dans la composition même des dix commissions qui revenaient à «Bennoo bokk Yakaar». La onzième étant dirigée par Aïda Mbodj du Parti démocratique sénégalais (Pds).
Au cours de cette rencontre, des députés ont fait part de leur préférence pour telle ou telle autre commission. Ainsi, certaines commissions se sont retrouvées en sureffectif alors que d’autres n’en avaient pas assez. Ors, aucun député ne peut être membre de plus de trois commissions. «Il a fallu donc faire des arbitrages, enlever des noms et les mettre dans d’autres commissions», renseigne notre source qui relève que certains députés n’ont pas hésité à manifester leur désapprobation. C’est donc ce qui a fait que la réunion a pris du temps, bloquant ainsi la suite des travaux en plénière.